Il est défavorable. Ce qui compte, en la matière, ce sont les chiffres. Or nous les avons déjà : nous connaissons d'une part le nombre de personnes en détention provisoire et celui des détenus condamnés définitivement, d'autre part le nombre de places existantes et celui des places que nous allons construire. Ces chiffres nous donnent une vision très claire de l'état de la surpopulation carcérale. Je sais à quel point vous êtes attentive à ces questions, madame Untermaier, mais nous avons déjà, me semble-t-il, tout ce qu'il nous faut.