Je ferai une remarque et poserai deux questions, madame la secrétaire d'État. La campagne « 1 jeune, 1 solution », lancée par le Gouvernement à grand renfort de communication, m'interpelle : dans le français usuel, on dit « un problème, une solution ». J'espère que dans l'inconscient du Gouvernement, il ne s'agissait pas d'assimiler les jeunes à un « problème »…