Les associations sont capitales pour la vie des territoires. Pourtant, quand on regarde dans le rétroviseur, on constate malheureusement que le début du quinquennat n'a pas comporté de politique en faveur des associations. En témoigne la suppression des contrats aidés qu'a évoquée Régis Juanico – à hauteur de 80 % en trois ans – , ou encore la suppression de la réserve parlementaire, qui a été catastrophique.