Vous avez raison, madame Josso : tenir compte des autres élèves de la classe est particulièrement important. J'ai néanmoins du mal à comprendre si vous évoquez l'intervention d'un représentant du monde associatif au sein de la classe, auprès des élèves, ou bien au sein de l'établissement et donc dans le cadre de la réunion préconisée à l'article 2. Cela dit, une telle intervention, en binôme avec l'enseignant, ne peut être qu'un plus. Dès lors que l'enseignant a bien compris lui-même la pathologie de l'enfant, il sera en mesure de trouver les bons mots pour échanger avec ses élèves. La présence d'une autre personne peut être rassurante. Aussi vais-je donner à votre amendement un avis favorable, à titre personnel, même si je ne suis pas sûre qu'il relève du domaine de la loi – la pratique que vous préconisez existe déjà et la question est de savoir s'il faut la généraliser par le biais d'un texte de loi.