Pour notre part, nous ne proposons pas de dispositif inconstitutionnel et insensé d'un point de vue scientifique : puisque la marge d'erreur des tests osseux va de dix-huit mois à deux ans, en particulier durant cette période de développement du corps des enfants, la disposition serait complètement inopérante.
Je le répète : ne tombons pas dans la caricature sur ce sujet, et ne minimisons pas les difficultés auxquelles les départements sont confrontés.