Les amendements de Jean-Christophe Lagarde pour ce dossier
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Dans une période d'angoisse, le fait pour certains de nos concitoyens de pouvoir pratiquer leur culte constitue une forme de réconfort, celui de se sentir ensemble, de combattre le virus ensemble. Et si, monsieur le rapporteur, nous sommes capables d'organiser, d'un point de vue sanitaire, des cultes – ce qui s'est fait au moment du déconfineme...
On nous dit que nous sommes irresponsables parce que nous nous interrogeons, mais quand on est face à un bilan où, depuis le début de la crise…
Si, c'est un rappel au règlement puisque je reprends le sujet abordé par notre collègue. Lorsqu'on constate que la France compte 4,5 fois plus de morts, d'hospitalisations et de cas que l'Allemagne, nous avons le droit de nous interroger !
Madame la présidente, je voudrais que nous puissions débattre sereinement – chose dont certains de nos collègues semblent incapables – pour trouver les meilleures solutions. Le Président de la République a dit que la situation était la même dans toute l'Europe. Y a-t-il un confinement général en Allemagne, dans tous les États allemands ? La rép...
Y a-t-il un confinement général en France ? La réponse est oui, en tout cas pour certains secteurs d'activité.
Revenons à un débat serein, basé sur les chiffres, et puisqu'il va falloir vivre longtemps avec ce virus, essayons de voir – certains oublient que c'est à cela que nous invitait le Président de la République – comment concilier la sécurité sanitaire et l'activité économique !
C'est un rappel au règlement sur le fondement de l'article 100, alinéa 1. Vous avez ce soir, madame la présidente, un rôle difficile, mais il me semblait que le groupe La République en marche avait déjà utilisé son droit à suspension de séance.
Vous en avez accordé un second, ce que, ayant été vice-président, je peux comprendre, pour le bon ordonnancement de la séance. J'imagine donc que c'est désormais autorisé pour tous les groupes de l'Assemblée nationale. Par ailleurs, j'ai entendu pendant la suspension des mots qui ne devraient pas avoir cours dans cet hémicycle.
Des collègues de la majorité ont traité certains d'entre nous de margoulins et, même si c'est hors procès-verbal, ce n'est pas acceptable. Enfin, il me semble que votre présidence est en train d'être contestée sur le résultat des votes. Je veux dire à nos collègues de la majorité que s'ils sont suffisamment mobilisés pour soutenir le texte, il...
Nous essayons simplement d'entrer dans le moule façonné par le Premier ministre, Jean Castex, lors de sa déclaration de politique générale : être capable de territorialiser, de discuter, de concerter et de faire confiance aux acteurs de terrain. Parmi les acteurs du terrain, il y a des élus qu'un ministre, M. Le Maire, a dénoncés comme irrespo...
Je termine d'une phrase, madame la présidente. En France, les chantiers de bâtiment et travaux publics sont ouverts, les usines sont ouvertes, les bureaux sont ouverts à ceux qui ne peuvent pas télétravailler, les services publics sont ouverts, les écoles, collèges et lycées sont ouverts. Tout ce que vous avez fermé, ce sont les petits commerce...
Je pense d'abord à nos collègues d'outre-mer qui ont fait 20 000 kilomètres pour débattre demain de leur budget et qui ne pourront pas le faire. Apparemment, les débats ultramarins n'intéressent personne ! Vous devriez pourtant vous y intéresser. Surtout, madame la présidente, je me réjouis du changement de ton du ministre de la santé. Notre d...
Lors du premier confinement, on manquait de masques et de gel ; on n'avait pas l'habitude des gestes barrières, on ne les comprenait même pas. Aujourd'hui, les mesures qui ont été décidées visent à éviter les contacts sociaux inutiles.
… mais pourquoi fermer des commerces qui ne sont pas plus contaminants que les supermarchés que vous laissez ouverts ? C'est ça, la question ! Limitez les déplacements, pas la liberté commerciale.