Les amendements de Jean-Luc Fugit pour ce dossier
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Cet article va permettre d'inscrire dans la loi l'année de césure. Tout étudiant pourra en bénéficier, dès le premier cycle et même entre l'année d'obtention du baccalauréat et sa première année dans l'enseignement supérieur. C'est pour nous un pas de plus vers la personnalisation des parcours de formation, déjà évoquée à l'article 1er. Définir...
S'agissant de l'année de césure, nous ne l'avons jamais réduite à la possibilité de voyager à l'étranger, comme vous l'affirmez à la suite de M. Mélenchon, monsieur Corbière ! Je précise au passage qu'il existe des aides pour les étudiants qui partent à l'étranger durant une année de césure, y compris pour les étudiants en difficulté sociale et...
Soyez sympathique, monsieur Corbière, laissez-moi parler s'il vous plaît ! Par exemple, certaines fondations proposent des aides, les régions aussi.
Prévoir la possibilité d'une césure, que chacun sera libre de prendre ou pas, constitue un plus et non un moins. Il s'agit d'un plus destiné à ceux qui veulent s'en saisir, qui n'enlève rien aux autres.
Nous prévoyons de valoriser les acquis des étudiants et d'en dresser le bilan afin de les aider à en tenir compte et à s'en servir dans la préparation de leur insertion professionnelle. D'ores et déjà, si un étudiant s'investit particulièrement dans un engagement citoyen, s'il est élu syndical ou élu dans un conseil d'administration, une commis...
Il s'agit d'un plus pour eux, pas d'un moins pour les autres. Quant à la notion de compétences, qui vous a quelque peu agacé, monsieur Mélenchon, je voudrais vous rassurer. J'ai enseigné pendant de nombreuses années et, comme M. Berta, j'ai régulièrement reçu mes étudiants. L'approche par compétences est une approche pédagogique nouvelle qui e...