Les amendements de Jean-Luc Mélenchon pour ce dossier
28 interventions trouvées.
Le débat n'a pas seulement lieu entre majorité et opposition : il s'agit de savoir quelle idée la France se fait, à ce moment, de ce qui est vrai, de ce qui est faux et, surtout, de ce qui est bon pour elle.
Nous protestons contre l'OTAN, et je ne partage pas votre analyse, car je ne crois pas que ce soit l'OTAN qui a stoppé la Russie : je crois que c'est l'OTAN qui a provoqué la Russie, ce qui n'est pas la même chose. En ce qui concerne la Crimée, nous n'avons pas le temps d'en parler à cette heure, mais disons simplement que nous sommes fort mal...
Notre vote sera le même que précédemment, pour le même motif : l'objectif de sincérisation. Merci, monsieur Becht, d'avoir reposé le problème comme vous l'avez fait. Vous avez raison, mais vous parlez d'une autre époque : celle où existait le pacte de Varsovie, d'un côté, et l'OTAN, de l'autre. Ce n'est pas de cela que je parle, mais de la sit...
Voyons bien de quoi nous parlons. Il s'agit d'adopter un paragraphe dans lequel notre pays désigne des menaces : « Plus spécifiquement, le renouveau des capacités de défense russes s'accompagne d'une politique d'affirmation militaire à l'égard de son voisinage [ce que ferait n'importe quel pays] et d'un recours préoccupant à des formes d'intimi...
Dès lors, mon collègue Lachaud propose que l'on mette en cause, dans ce paragraphe, les pays qui posent réellement problème aujourd'hui, en particulier dans la réorganisation du grand Moyen-Orient, où toutes les puissances du monde interviennent pour essayer d'en redessiner la carte et où se superpose une bataille confuse mais dont les connaiss...
… au vu des circonstances particulières des combats qui se déroulent là-bas, estimant, à la faveur des galons qu'avaient gagné les Kurdes, qu'il fallait les liquider. D'une part, le PKK – le parti des travailleurs du Kurdistan – , une des forces politiques combattantes, est considérée comme une organisation terroriste, ce qui est une aberration...
Je ne dis pas que cela donne la possibilité de parler dix minutes, mais du moins d'achever sa phrase sans être interrompu.
Nos amendements proposent de désigner ceux qui posent problème plutôt que d'autres qui n'en posent pas.