Les amendements de Jean-Luc Mélenchon pour ce dossier
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Ce devait être un moment solennel et important que celui-ci : l'Assemblée nationale française se prononçant, après l'ouverture d'une ère nouvelle en la matière, sur une question aussi brûlante que la violence ordinaire, méconnue des hommes mais bien connue des femmes. Nous pensions, nous voulions entrer dans cette discussion en considérant qu'...
Nous nous sentions forts des engagements de plusieurs d'entre nous dans ces batailles, forts du moment créé par le phénomène dit #metoo. J'y reviens : j'ai parlé de violences bien connues des femmes, mais les hommes doivent avoir l'honnêteté de dire que peu nombreux étaient ceux qui mesuraient l'ampleur et la permanence de ces phénomènes, telle...
De même, nous avons été stupéfaits que l'on nous refuse le renversement de la charge de la preuve à propos de relations avec des enfants de moins de 13 ans. Nous n'avons pas compris ; et nous allons quitter cette discussion, dans laquelle notre groupe s'est tant investi – vous l'aurez noté – , sans avoir compris pourquoi nous nous sommes heurt...
… et nous ne voulons pas non plus des autres risques que nous avons évoqués et vis-à-vis desquels nous avons voulu prendre des précautions.
Le texte va suivre son chemin. Peut-être reviendrez-vous à la raison. Nous vous adjurons d'essayer de trouver un accord avec nous. Nous vous adjurons de nous entendre. Sous quelque forme que ce soit, nous sommes prêts à avancer.
Mais ne prenez pas le risque que tout le monde vous montre du doigt, ce risque que vous assumez par votre texte.
Je me fonde sur l'article 58, alinéa 1er, relatif à l'organisation de nos débats. Pour la deuxième fois, je suis contraint de m'adresser à notre assemblée et à vous-même, monsieur le président, pour que vous vous fassiez l'écho de mon observation là où l'on doit en prendre acte. Pour la deuxième fois, un député de la majorité a utilisé la séan...
La dernière fois, c'était Muriel Ressiguier, députée de l'Hérault, qui avait été prise à partie par une collègue élue du même département. Celle-ci l'avait interpellée sur son comportement dans une manifestation. Cette fois, c'est Gabriel Attal qui a pris à partie Éric Coquerel à propos de sa présence dans une lutte d'étudiants. Naturellement,...