Les amendements de Jean-Paul Lecoq pour ce dossier
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En traitant les jeunes de cette façon, en particulier les étudiants, vous les inscrivez d'emblée dans une logique d'assistanat. Ce n'est pas ce qu'ils demandent : les jeunes veulent être autonomes, étudier et vivre normalement. Songez qu'ils ne trouvent plus de petits boulots, monsieur le rapporteur spécial : ils ne peuvent même plus vendre leu...
Avec cet argent, les étudiants accéderaient aux loisirs, à la culture, au sport, à l'autonomie, entretiendraient des relations… En d'autres termes, ils vivraient de concert leurs études et leur jeunesse. Vous leur devez bien cela ; nous leur devons bien cela, car ils sont notre avenir.
Cet amendement est important, car la démarche en question est essentielle. Il est parfois très compliqué de constituer un dossier d'indemnisation : cela implique de réunir de nombreux documents et les échanges prennent du temps. C'est donc très bien pour la Polynésie française que les délais soient allongés. Ce sera bien le jour où l'on prendr...
Nous entendons que le fonds est en augmentation, mais ce que suggère M. David, c'est d'ajouter des moyens à votre ministère pour les relations franco-allemandes, par le biais d'actions citoyennes et pas seulement institutionnelles – car il nous arrive aussi de recourir à l'OFAJ quand nous menons des actions institutionnelles avec nos mairies, d...
Le budget de l'aide publique au développement pour 2022 est en augmentation de 576 millions d'euros, ce qui porte le budget total de la part pilotable de l'APD à 3,05 milliards d'euros, et à 14,6 milliards si l'on comptabilise la totalité de l'APD. Vous avez raison d'être satisfait, monsieur le ministre, même si, bien que cela semble intéressan...
Vous confirmez, monsieur le secrétaire d'État, ce que nous affirmons les uns et les autres depuis tout à l'heure : votre politique est vraiment illisible. Votre discours ultrapositif – et personne n'a voté contre le projet de loi de programmation relative au développement solidaire et à la lutte contre les inégalités mondiales, parce que nous s...
Le vocabulaire est important dans l'enceinte de l'Assemblée nationale : à ma connaissance, aucun député n'a utilisé le mot « mafia » ce matin. C'est au contraire la majorité parlementaire qui l'emploie pour qualifier la potentielle absence de transparence sur ces opérations financières. Je ne reprends pas le terme de « mafia », mais j'ignore c...
Monsieur le secrétaire d'État, la somme que vous nous demandez d'accepter s'apparente tout de même au prix de l'acceptabilité de la réforme du franc CFA. La zone du franc CFA est la dernière où l'ancien colonisateur maîtrise encore la monnaie. Nous pourrions quand même faire en sorte que l'Afrique gère sa propre monnaie ! Or les crédits que vou...
J'apprécie votre gentillesse, madame la présidente ! Le problème, monsieur le rapporteur général, réside dans la façon dont vous présentez les choses. Vous nous dites en substance que le Gouvernement s'est mis d'accord avec les acteurs de France télévisions. En réalité, ceux-ci n'ont pas vraiment eu le choix : la trajectoire n'est pas convenue...
Notre collègue a raison. Ce n'est pas vous qui avez impulsé cette évolution de la sécurité sociale – on ne va pas vous accuser de tout –,…
…mais vous l'avez poursuivie. Le salaire mutualisé, c'est-à-dire la part du salaire des travailleurs versée à la sécurité sociale, vous en avez exonéré une multitude d'entreprises.
Vous donnez à ces mesures le nom de réduction des charges sociales ; nous, nous parlons d'exonération des cotisations sociales. Toujours est-il qu'elles déséquilibrent le système, qui doit alors être financé par des recettes fiscales. Il faudrait au contraire revenir au système extraordinaire que les communistes ont créé après-guerre, admiré p...