Les amendements de Jean-Philippe Nilor pour ce dossier

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Parce que notre législation fiscale doit répondre à l'urgence environnementale et climatique, cet amendement tend à favoriser les modes de transport vertueux, comme le train, au détriment de l'avion pour les vols intérieurs. Selon une étude de l'ADEME, l'empreinte carbone d'un trajet de 500 kilomètres aller-retour en avion se situe entre 145 e...

Pardonnez-moi, madame la ministre, mais votre intervention était truffée d'éléments erronés. Ainsi, les compagnies aériennes n'ont pas fui le Royaume-Uni, où les taxes sont pourtant beaucoup plus importantes.

Or le Royaume-Uni n'est pas très loin de nous. D'autre part, tout est affaire de volonté politique. Décemment, comment pouvez-vous ignorer, dans une loi d'orientation sur les mobilités, l'empreinte carbone du trafic aérien ?

Lorsqu'il n'y a pas de transfert modal possible – c'est le cas pour les outre-mer – , le voyageur n'a évidemment pas le choix. Mais, le plus souvent, il dispose d'une marge de manoeuvre. C'est alors que la volonté politique doit s'exprimer. Au reste, j'ai été surpris de vous entendre vous référer aux outre-mer. Visiblement, on ne se souvient d...

Pour une fois que vous évoquez les outre-mer, la mention est mal venue. Ce n'est pas ainsi que vous justifierez l'injustifiable : le silence, l'oubli, la surdité et la cécité dont vous faites preuve à notre égard. Nous ne sommes pas d'accord pour servir d'excuse à votre inaction.