Les amendements de Marie-Christine Verdier-Jouclas pour ce dossier
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Monsieur Coquerel, vous êtes inquiet – nous aussi, si vous en doutiez ! Oui, nous avons conscience de la réalité de la situation. En revanche, je ne suis pas certaine que vous vous rendiez compte de tout ce que nous faisons au cours de cette crise pour lutter, entre autres choses, contre la précarité. Je crois qu'en réalité, vous ne voulez pas ...
Par ailleurs, le plan « un jeune, une solution » vous dit-il quelque chose ? Voilà un autre exemple de ce que nous mettons en oeuvre. Vous continuez de ne pas voir. Je ne vous comprends pas – mais ce n'est pas nouveau. Au-delà de tout ce qu'ont dit les ministres et le rapporteur général, vous voulez, si j'ai bien compris, rejeter, entre autres...
Je suis désolée, mais vos explications ne nous ont absolument pas convaincus – pas plus, j'en suis sûre, qu'elles n'auront convaincu toutes celles et ceux qui bénéficieront des soutiens que vous refusez.
Nous, députés du groupe La République en marche, voterons contre cette motion de rejet. Nous vous laissons seuls dans votre posture, voire dans votre imposture, en vous assurant que nous vivons bien dans la réalité, et pas dans une bulle démagogique !
Merci monsieur le ministre délégué. L'amendement est issu des travaux de nombreux députés suite à l'annonce du plan pauvreté. Je salue particulièrement mes collègues de la commission des affaires sociales, ainsi que ceux du groupe Mouvement Démocrate et Démocrates apparentés, qui ont déposé un amendement identique. Ces propositions étaient très...
Nous remercions le Premier ministre de ces annonces et le ministre délégué de nous avoir permis de défendre ces belles mesures dont nous pouvons tous être fiers.
Loin de moi l'idée de vouloir remettre un jeton dans la machine à cette heure-ci, mais j'ai promis à Mme Bergé, première signataire de l'amendement, que je le défendrais. Nous souhaitons que le Gouvernement remette au Parlement dans les deux mois qui viennent un rapport évaluant les conséquences économiques et financières de la crise sanitaire ...
C'est un amendement qui demande que le crédit d'impôt pour les bailleurs en cas de fermeture administrative soit augmenté de 50 %. Nous avons eu la discussion et je retire l'amendement puisque je sais que ce sera dans le PLF, suite aux annonces de M. Bruno Le Maire.
Je m'exprimerai ici non seulement au nom du groupe d'études sur la vigne, le vin et l'oenologie, dont je suis la coprésidente, mais aussi en tant que députée qui soutient l'agriculture et son territoire.
L'article 18 a été conçu – nous avons déjà eu l'occasion de le souligner en amont de cette discussion – de telle sorte que, malheureusement, nous ne puissions pas faire notre travail de député et adopter des amendements permettant d'introduire des différences dans le traitement des secteurs d'activité. Monsieur le rapporteur général, je vous a...
S'agissant de la seule viticulture, ce sont 4,5 milliards d'euros qui ont été versés en salaires, alors qu'il n'y a plus de recettes, plus de ventes dans les cafés, hôtels et restaurants, et plus d'exportations puisque les frontières sont fermées. Il n'y a pas d'égalité entre les secteurs qui dépendent des cafés, hôtels et restaurants ; ce n'es...
Ils doivent avoir droit à des exonérations différentes, parce que, rien que pour la viticulture, ce sont 700 000 emplois qui sont en jeu. Le secteur représente 60 milliards d'euros de chiffre d'affaires et 12 milliards d'euros d'exportations, et s'acquitte de la TVA à hauteur de 10 milliards d'euros. Si nous ne pouvons pas prendre ce secteur en...
Cet amendement a été élaboré avec l'Alliance des métiers de la restauration aérienne et ferroviaire, dont le siège social se situe dans mon département, le Tarn. Du fait de l'interruption des flux de transports aérien et ferroviaire, liée bien sûr à la pandémie de covid-19, et des fermetures administratives, les entreprises du secteur de l'avi...
Je le maintiens. D'autre part, je signale à M. le rapporteur général, qui me répondait en regardant de l'autre côté de l'hémicycle, que je me trouve de ce côté-ci !
Le texte que nous examinons répond, cela a été dit, à trois enjeux majeurs : maintenir et compléter les dispositifs d'aide aux secteurs dont l'activité demeure largement à l'arrêt, accompagner les secteurs qui redémarrent progressivement, et anticiper une entrée encore plus difficile sur le marché du travail pour les jeunes au cours des mois à ...
Lorsque vous parlez de crise de confiance vis-à-vis de l'État, je vous prie de m'excuser, mais j'estime qu'il existe plutôt un désaveu de l'acte démocratique. Pourquoi ? Parce qu'à force de répéter que tout va mal, que nous ne faisons rien, que tout est mauvais, que rien ne va, nécessairement les Français n'ont plus confiance, …
… et ils le manifestent par un désaveu de l'acte démocratique. Pour notre part, donc, nous agissons. Car avec ce troisième projet de loi de finances rectificative, ce sont tout de même 460 milliards, soit 20 % de la richesse nationale, qui seront injectés pour répondre aux enjeux que j'ai cités. Il s'agit d'un engagement assumé par notre major...