Les amendements de Marie-Christine Verdier-Jouclas pour ce dossier

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Monsieur Coquerel, vous êtes inquiet – nous aussi, si vous en doutiez ! Oui, nous avons conscience de la réalité de la situation. En revanche, je ne suis pas certaine que vous vous rendiez compte de tout ce que nous faisons au cours de cette crise pour lutter, entre autres choses, contre la précarité. Je crois qu'en réalité, vous ne voulez pas ...

Par ailleurs, le plan « un jeune, une solution » vous dit-il quelque chose ? Voilà un autre exemple de ce que nous mettons en oeuvre. Vous continuez de ne pas voir. Je ne vous comprends pas – mais ce n'est pas nouveau. Au-delà de tout ce qu'ont dit les ministres et le rapporteur général, vous voulez, si j'ai bien compris, rejeter, entre autres...

Je suis désolée, mais vos explications ne nous ont absolument pas convaincus – pas plus, j'en suis sûre, qu'elles n'auront convaincu toutes celles et ceux qui bénéficieront des soutiens que vous refusez.

Nous, députés du groupe La République en marche, voterons contre cette motion de rejet. Nous vous laissons seuls dans votre posture, voire dans votre imposture, en vous assurant que nous vivons bien dans la réalité, et pas dans une bulle démagogique !

Le texte que nous examinons répond, cela a été dit, à trois enjeux majeurs : maintenir et compléter les dispositifs d'aide aux secteurs dont l'activité demeure largement à l'arrêt, accompagner les secteurs qui redémarrent progressivement, et anticiper une entrée encore plus difficile sur le marché du travail pour les jeunes au cours des mois à ...

Lorsque vous parlez de crise de confiance vis-à-vis de l'État, je vous prie de m'excuser, mais j'estime qu'il existe plutôt un désaveu de l'acte démocratique. Pourquoi ? Parce qu'à force de répéter que tout va mal, que nous ne faisons rien, que tout est mauvais, que rien ne va, nécessairement les Français n'ont plus confiance, …

… et ils le manifestent par un désaveu de l'acte démocratique. Pour notre part, donc, nous agissons. Car avec ce troisième projet de loi de finances rectificative, ce sont tout de même 460 milliards, soit 20 % de la richesse nationale, qui seront injectés pour répondre aux enjeux que j'ai cités. Il s'agit d'un engagement assumé par notre major...