Les amendements de Marine Le Pen pour ce dossier
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Monsieur le Premier ministre, nous ne nous attendions à rien et malgré cela, vous avez tout de même réussi à nous étonner. Vous êtes venu devant la représentation nationale pour une restitution des orientations du grand débat en ne disant rien, strictement rien. Une nouvelle manoeuvre dilatoire alors que la France n'a pas besoin de constatation...
Derrière ces questions, nous le savons, se trouve, en toile de fond, le débat européen, l'adhésion ou non à la logique du libre-échange, la question migratoire, le consentement à l'impôt, la nature et les conditions de la transition écologique. Il y a, enfin, la façon d'exercer le pouvoir dans une démocratie véritablement représentative et donc...
… l'attachement à une démocratie plus participative, moins verticale, moins oligarchique, moins technocratique, en bref, une démocratie plus adaptée au monde nouveau, aussi portée par les valeurs d'internet. Fallait-il cinq mois de manifestations, onze morts par accident, des dizaines de mutilés, des milliers de gardes à vue, de condamnations ...
Une machine à calculer, monsieur le Premier ministre, ne recèle aucune intelligence : seulement une capacité froide et mathématique – rien qui puisse suffire à diriger un peuple. Vous avez cru pouvoir sortir d'une crise sociale, véritable cri de souffrance des plus vulnérables, par une répression de rue, des invectives et des leçons de morale. ...
alors qu'elle a tant besoin d'unité. On ne sortira de cette crise que par une grande impulsion politique. Pour ma part, attachée aux institutions, préoccupée par le long et désespérant pourrissement auquel nous assistons de week-end en week-end, j'ai proposé un plan en trois étapes que je vous exhorte aujourd'hui solennellement à mettre en oeu...
Il prévoit l'adoption de la proportionnelle et l'instauration du référendum d'initiative populaire – il suffit d'un amendement à la réforme constitutionnelle qui est en suspens – , la dissolution de l'Assemblée nationale, qui permettrait l'ouverture durant un mois d'un débat démocratique portant sur tous les sujets, et enfin le vote du peuple, ...
Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien, jusqu'ici tout va bien. Mais l'important n'est pas la chute, c'est l'atterrissage. » C'était dans le film de Matthieu Kassovitz, La haine.