Les amendements de Michel Castellani pour ce dossier

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L'enfer est pavé de bonnes intentions. Quant au fond, nous sommes évidemment d'accord – nous l'avons dit cent fois – pour taxer les plateformes numériques. Dans le cas d'espèce, il est vrai que le prix de la transaction, donc la taxe, sera intégré au prix final, ce qui risque d'alourdir celui-ci – fût-ce à la marge, comme le dit M. le rapporteur.

L'intérêt de la taxe est évidemment de faire entrer 400 à 500 millions d'euros dans les caisses de l'État, mais, dans notre esprit, là n'est pas l'essentiel. L'essentiel est de servir d'exemple, d'encourager une démarche identique au sein de l'Union européenne d'abord. L'Union européenne ne peut fonctionner de manière satisfaisante sans une co...