Les amendements de Michel Zumkeller pour ce dossier
8 interventions trouvées.
Décidément, et c'est malheureux, l'incapacité de ce PLF pour 2022 à traduire une vraie trajectoire pour nos finances publiques fait consensus. Je vous le rappelle, pour la première fois de la législature, le Haut Conseil des finances publiques s'est déclaré incapable de rendre un avis pleinement éclairé sur les prévisions en matière de finances...
C'est un constat d'échec partagé par le Sénat qui, encore ce mardi 14 décembre, a opposé la question préalable pour rejeter le projet de loi en nouvelle lecture. Comment se réjouir d'examiner un texte qui est le fruit de dysfonctionnements de nos mécanismes démocratiques ? Ce PLF, plus électoraliste que jamais, révèle un échec à relever les déf...
Quand la navette parlementaire revient à vide, il y a véritablement de quoi s'inquiéter ! Dénonçant la multiplication des promesses dépensières et électoralistes du Président de la République, les sénateurs ont choisi de ne pas examiner le PLF pour 2022.
Nous nous retrouvons donc aujourd'hui en nouvelle lecture pour réexaminer ce texte dans sa version adoptée en première lecture. C'est un constat d'échec dont il faut savoir tirer les leçons. Le groupe UDI-I comprend la position du Sénat qui a décidé de procéder à ce vote important, rare et solennel, parce que c'est un budget qui sacrifie les fu...
Comme je l'ai fait au sein de notre assemblée depuis des mois, les sénateurs ont ainsi voulu dénoncer les 100 milliards de dépenses courantes supplémentaires sur les trois dernières années, un record depuis quinze ans, mais surtout les 680 milliards d'euros de dette accumulés sous le quinquennat d'Emmanuel Macron. Depuis septembre, ce n'est en ...
Avant de commencer mon propos, je voudrais, monsieur le ministre délégué, vous adresser un message de la part de nos collègues calédoniens qui souhaitent vous alerter sur la situation en Nouvelle-Calédonie. Ce territoire, qui avait jusqu'alors été épargné par la crise sanitaire, est aujourd'hui durement touché : la barre des 200 décès vient mal...
Si nous parvenons à résoudre ce problème, nous pourrons embaucher des infirmières et les payer correctement. On ne trouve pas dans votre budget de réformes en ce sens.
Le poids de la dette est un danger pour l'avenir de nos enfants. Nous souhaitons pour le moins, comme le demande Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes, que les suppléments de croissance soient consacrés au remboursement de la dette. En conclusion, permettez-moi de citer un homme politique courageux, le grand Winston Church...