Les amendements de Nathalie Bassire pour ce dossier
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Depuis les années 2000, l'usage du numérique est en perpétuelle augmentation. En vingt ans, la proportion de ménages ayant accès à internet est passée de 5 % à 90 %. Désormais, les usages numériques font partie intégrante de notre quotidien. Ils présentent indéniablement des avantages : une facilitation des échanges, un meilleur partage de l'in...
À l'été 2019, une analyse de The Shift Project nous alertait déjà sur les niveaux de pollution considérables générés par l'utilisation des nouvelles technologies, flux vidéo en tête. Ses auteurs en appelaient à un véritable changement de paradigme, afin de passer d'un numérique instinctif à un numérique conscient et réfléchi. Nous ne pouvons do...
Elle vise à rétablir le dispositif de l'article 5 ter de la loi « climat et résilience », qui avait été adopté par l'Assemblée nationale mais censuré sur le fondement de l'article 45 de la Constitution, au motif qu'il ne présentait pas de lien, même indirect, avec l'article 1er du projet de loi initial prévoyant l'affichage d'une information re...
Les dispositions permettant à l'ARCEP de s'assurer que les opérateurs respectent les lois et règlements en vigueur, afin d'assurer une meilleure protection de l'environnement et de la santé, doivent être établies. En effet, les conclusions de la mission d'information relative à l'empreinte environnementale du numérique en France font état d'un ...
Ces émissions, qui induisent un coût collectif de 1 milliard d'euros, pourraient donc représenter 12 milliards d'euros dans vingt ans.
Il est urgent de parler du phénomène nouveau qu'est la pollution numérique, et de le prévenir. Le groupe Les Républicains, qui a soutenu la proposition de loi du sénateur Patrick Chaize visant à réduire l'empreinte environnementale du numérique en France, soutiendra donc le présent texte, qui réintroduit une disposition essentielle, malheureuse...