Les amendements de Patricia Mirallès pour ce dossier

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Je ne souhaite pas instrumentaliser ici la journée du 19 mars, dont chacun sait les débats auxquels elle a donné lieu en 2001, à l'Assemblée nationale, et onze ans plus tard, au Sénat. Je ne nie pas le fait que, pour beaucoup – et, croyez-moi, j'en sais quelque chose –, la date du 19 mars marque moins la commémoration d'un cessez-le-feu que le...

Puisque nous parlons de dates, évoquons celle du 25 septembre. Je ne reviendrai pas sur ce que vous avez dit, madame Tabarot : je ne crois pas que le 19 mars fasse consensus, mais il marque le cessez-le-feu, c'est pourquoi nous le respectons. S'agissant du 25 septembre, cette date a été instituée, par le décret du 31 mars 2003, journée nationa...

Ayant soutenu l'un des amendements identiques, je ne répondrai que sur celui de M. Meizonnet. Je vous rappelle, monsieur le député, que le 12 mai est déjà consacré à la Journée internationale des infirmières, que je tiens d'ailleurs à saluer : elles sont souvent présentes dans notre hémicycle.

Ce jour est celui de la naissance de Florence Nightingale, infirmière britannique née le 12 mai 1820 et qui s'est distinguée par son action exceptionnelle en faveur des soldats blessés lors de la guerre de Crimée au XIXe siècle. Vous auriez ainsi pu choisir une autre date, mais cette considération ne semble vous toucher que...

Par ailleurs, à titre personnel, j'estime que le Parlement s'honorerait à également inscrire dans la loi la journée d'hommage aux morts pour la France pendant la guerre d'Algérie et les combats au Maroc et en Tunisie, laquelle a été fixée au 5 décembre par le décret du 26 septembre 2003.

Je suis moi aussi favorable à ce que nous fixions une date unique. Le groupe d'études sur les rapatriés, présidé par votre collègue Éric Diard et dans lequel je siège, y travaille avec Mme la ministre déléguée depuis 2017, mais ce n'est pas à nous de choisir une date. Nous devons donner aux anciens combattants le temps de nous indiquer quelle d...