Les amendements de Paul Christophe pour ce dossier
7 interventions trouvées.
En précisant la compétence de la Commission de régulation de l'énergie en matière de contrat unique, l'article 5 comble un vide juridique. La Commission de régulation de l'énergie sera donc en mesure d'offrir une évaluation indépendante et objective des coûts de gestion, permettant de déterminer le calcul de la rémunération des fournisseurs d'é...
Le contexte dans lequel se trouvent les filières française et européenne de biocarburants est préoccupant : en septembre, l'Union européenne a pris la décision de réduire significativement les droits antidumping appliqués au biodiesel argentin. La perspective d'une hausse massive des importations de ce carburant fait craindre des effets désastr...
Bien que les fournisseurs soient soumis à une obligation de stockage du gaz naturel, on constate que le dispositif actuel est inefficace et source de contentieux. L'adoption de l'article 4 devrait permettre l'aboutissement d'une réforme qui traîne depuis trois ans. Le périmètre de l'ordonnance avait déjà été défini dans l'article 167 de la loi ...
Il vise à permettre l'octroi de nouveaux permis exclusifs de recherches sollicités avant l'annonce du plan climat par le Gouvernement lorsque les projets exploratoires sont arrivés à maturité, c'est-à-dire dès lors que les pétitionnaires ont déjà engagé des dépenses importantes en vue d'acquérir des données et d'être en mesure de réaliser des f...
Cet amendement vise à fixer la date d'échéance du renouvellement des concessions qui viendront à expiration dans les prochaines années à 2050 et non pas à 2040 afin, d'une part, d'être en phase avec l'échéance que s'est fixée la France pour atteindre la neutralité carbone, et, d'autre part, de ne pas confondre urgence et précipitation, et de do...
Il s'agit, tout en conservant l'échéance de 2040, de donner aux industriels un délai raisonnable, de l'ordre de dix ans, afin de leur permettre de répondre à l'obligation qui leur est faite de remettre les sites concernés en état une fois l'extraction achevée.
Il s'agit d'un amendement de repli qui propose un délai supplémentaire de cinq ans, au lieu des dix ans figurant à l'amendement no 36.