Les amendements de Paul Molac pour ce dossier
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De nos jours, près d'un agriculteur sur trois gagne moins de 350 euros par mois. Quand les difficultés économiques, professionnelles et familiales s'accumulent, la vie devient un lourd fardeau. Face à ces difficultés, la question d'une juste rémunération est posée depuis longtemps. Nous l'avons dit en première lecture, la loi EGALIM a échoué d...
La proposition de loi n'entend pas changer ces paramètres essentiels. Sera-t-elle, dès lors, en mesure de régler la problématique de la rémunération de nos agriculteurs ? Je ne le pense pas. Pour autant, ce texte comporte des mesures positives, qui ont été, pour une grande partie, maintenues voire réécrites en commission mixte paritaire. Je p...
En juin 2018, devant 700 élus et invités bretons réunis à Quimper, le Président de la République déclarait : « Nos agriculteurs veulent pouvoir vivre dignement du prix payé. » Sur ce point, nous sommes tout à fait d'accord. Il ajoutait que la future loi EGALIM, alors en discussion au Parlement, permettrait « de changer en profondeur la structur...
Notre groupe participera bien sûr à la discussion et appuiera les propositions de Thierry Benoit, qui semblent aller dans le bon sens. Nous espérons qu'ensemble, nous trouverons un accord : l'amélioration de la rémunération des agriculteurs est une nécessité pour la vitalité de nos campagnes et pour ce métier – selon moi, l'un des plus beaux –,...
Notre collègue Thierry Benoit soulève un réel sujet, dont les acteurs sur le terrain se font régulièrement l'écho : il est difficile de s'entendre dans les négociations sur les coûts de production, et les agriculteurs se retrouvent parfois avec des coûts de production « maison » définis par les industriels, qui s'avèrent largement en deçà du pr...