Les amendements de Philippe Gosselin pour ce dossier

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Monsieur le secrétaire d'État, nous nous retrouvons à Paris et non dans la Manche, département où nous avions le plaisir de vous accueillir l'autre jour. Nous voilà donc une dernière fois, ou avant-dernière peut-être, réunis sur un texte qui touche à l'essentiel puisqu'il traite non seulement de la santé – et le covid-19 n'est pas derrière nous...

… il le perpétue d'une certaine façon. On pense à Janus, le dieu romain des commencements et des fins : nous avons bien un commencement, mais, malgré le double visage, il n'y a pas de fin. La seconde porte ne va pas s'ouvrir, et si elle s'ouvre, c'est sur un état gris, un état particulier, un état singulier dont nous ne voulons pas sous cette f...

… et sans aucune difficulté, sauf à se poser bien sûr certaines questions légitimes, en faveur de la loi du 23 mars 2020 qui a créé l'état d'urgence sanitaire. Nous avons également voté sa prorogation jusqu'au 10 juillet prochain par la loi du 11 mai 2020 – nous aurions préféré un rendez-vous au mois le mois, mais l'Assemblée et le Sénat sont t...

Sur ce dernier sujet, nous attendons la décision du Conseil d'État, qui examinait hier le décret du 14 juin pris à la suite de l'annulation de celui du 31 mai relatif à la liberté de manifester et au nombre de manifestants autorisés. Je crois qu'il faut savoir dire stop. Ce ne serait pas refuser au Gouvernement les moyens de travailler, car, m...

C'est à peu près autant que la période dont nous sortirons le 10 juillet, qui aura duré seize semaines, sans oublier les cinquante-cinq jours de confinement. Pour toutes ces raisons, ce texte ne paraît pas acceptable au groupe Les Républicains. S'il n'évolue pas davantage, nous ne pourrons pas le voter. Si Janus ne montre que l'un de ses visage...