Les amendements de Régis Juanico pour ce dossier

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Le texte mentionne la « communauté éducative » ; il me paraît important de préciser qu'en particulier, les parents d'élèves doivent être associés à l'élaboration du plan sportif local, afin de les impliquer pleinement dans les parcours sportifs des enfants, de la maternelle à l'université.

Je suis favorable à l'amendement présenté par Mme la ministre déléguée. Nous avons évoqué tout à l'heure les conseils locaux des activités physiques et sportives, mais la création d'une association sportive dans les établissements du premier degré, comme il en existe dans les collèges et les lycées, constituait également l'une des propositions...

Il est rédactionnel et vise à faire mention d'« équipements, notamment sportifs » plutôt que « d'équipements [et] d'infrastructures sportives ».

Cet article apparaît comme totalement redondant par rapport à l'article 3, qui est désormais explicite et précis. Les établissements du premier et du second degrés sont bien prévus dans l'élaboration des plans sportifs locaux ; en outre, le « parcours sportif » est explicitement mentionné à l'article 3. Pourquoi ajouter un article qui se conten...

Pour ma part, je voterai contre l'amendement no 393. Je répète que l'article 3 ter est superfétatoire : l'article 3 – qui prévoit un parcours sportif tout au long de la vie pour tous les publics et englobe ainsi les scolaires – suffit largement. Rappelons que tous nos amendements concernant l'EPS ont été déclarés irrecevables, comme sans relat...

Il vise à préciser l'objet de l'article 1er, que nous soutenons, en insérant, dans la liste des missions d'intérêt général et d'utilité sociale accomplies par les établissements sociaux et médico-sociaux, les actions contribuant à la pratique d'activités physiques adaptées. Pour mémoire, l'article D. 1172-1 du code de la santé publique définit...

Je suis étonné par les réponses de la rapporteure et de la ministre, car nous avons eu ce débat en commission. Il y a une confusion entre deux notions complètement différentes : d'une part, celle de sport adapté, qui renvoie à des publics relevant du handicap, notamment psychique, mental ou cognitif, et à la Fédération française du sport adapté...

Je propose d'étendre une disposition que nous avions introduite, par voie d'amendement, Valérie Fourneyron, Pascal Deguilhem, Brigitte Bourguignon et moi-même, dans la loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé, lequel amendement visait à instaurer ce qu'on avait appelé le sport sur ordonnance, c'est-à-dire la possibilité...

S'il est louable d'étendre le public concerné, encore faut-il que le dispositif fonctionne sur le terrain. Aujourd'hui, nous devons travailler à l'effectivité de la prescription du sport sur ordonnance. Le frein essentiel est le coût financier. À un moment donné, il faudra prévoir le remboursement par l'assurance maladie. Toutefois, nous ne l'...

intubés, pardonnez-moi, qui ont été pris en charge en réanimation et placés à plat ventre, souffrent aujourd'hui de pathologies, notamment de l'appareil bucco-moteur supérieur. Ils n'ont pas encore été entubés…

… mais pourraient l'être bientôt, en l'absence de fonds d'indemnisation ! Ces malades, donc, ont besoin de soins de réadaptation et de rééducation qui sont prodigués dans les centres hospitaliers universitaires – CHU – , en particulier celui de Saint-Étienne, où il y a un très bon service. Or le covid long n'est pas encore reconnu comme une ma...

J'ai déposé ce sous-amendement, car si les amendements identiques que nous examinons sont adoptés, les deux suivants que j'ai déposés tomberont. En ce qui concerne les objectifs de développement durable, j'estime qu'il faudrait être plus précis. Il se trouve que, depuis 2017, le ministère des sports se montre assez exemplaire grâce à sa charte...

Je tiens à lever toute ambiguïté sur le but de cette motion de rejet préalable : elle se veut d'abord un plaidoyer, que j'adresse à tous les députés présents dans l'hémicycle et au Gouvernement, pour enrichir substantiellement la proposition de loi visant à démocratiser le sport en France. Elle n'est autre qu'un appel à prendre toutes les mesur...

Il en est de même pour la séance : 276 amendements seront en discussion, tandis que 170 amendements ont été déclarés irrecevables, dont 45 au motif qu'ils seraient des cavaliers législatifs.

Ils traitaient de l'éducation physique et sportive, du statut du sportif en reconversion, du soutien financier aux acteurs sportifs et du développement du sport féminin. Leur irrecevabilité met en lumière le périmètre modeste et limité de la proposition de loi, alors que l'attente des Français est immense. Je veux aussi dire un mot du calendri...

Alors que son intitulé et l'exposé des motifs indiquent qu'elle vise à démocratiser le sport en France, ses douze articles – devenus vingt-trois après l'examen en commission – , loin d'être dépourvus de bonnes intentions, paraissent en très net décalage avec les attentes fortes des acteurs de terrain. Après un an d'arrêt de leurs activités en r...

Comme l'a montré une enquête du CNOSF à l'automne dernier, 74 % des clubs ont déclaré, en moyenne, une perte de 26 % de leurs licenciés en raison de l'épidémie. Pourtant, les collectivités territoriales ont été au rendez-vous : 90 % d'entre elles ont fait le choix de maintenir ou de relever leur soutien financier aux associations sportives. Le...

La crise sanitaire a montré à quel point le sport était vital : il constitue un atout face à la pandémie, pour préserver la santé mentale et physique de nos concitoyens. Pendant le premier confinement, quatre Français sur dix ont continué à pratiquer une activité physique et sportive ; et 20 % d'entre eux ont découvert une nouvelle activité à l...

Ah ! C'est un amendement important, que j'ai déjà évoqué dans mon intervention liminaire. Nous avons besoin d'un service public du sport fort. Je tiens à saluer ici la remarquable capacité d'adaptation dont font preuve, depuis le début de la crise sanitaire, les fonctionnaires du ministère des sports et des services déconcentrés de l'État dans...

L'activité physique et sportive est une alliée précieuse dans la lutte contre le covid-19, une bouffée d'oxygène, un antidépresseur puissant qui permet de combattre le stress, l'anxiété et les troubles du sommeil. L'activité physique adaptée est le meilleur médicament pour prévenir les facteurs de risque du covid-19 comme l'obésité, le diabète,...