Les amendements de Sébastien Jumel pour ce dossier
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Chacun s'accorde sur le fait qu'au regard de la situation sanitaire que nous traversons, il n'était pas envisageable de tenir les scrutins des élections départementales et régionales en mars. Chacun s'accorde aussi sur le fait que le calendrier renvoyant ces élections au mois de juin semble être la solution la plus raisonnable pour concilier im...
Nous voulons une république et des régions qui mettent le paquet sur les programmes de recherche pour arrêter la fuite des cerveaux, et qui investissent plus massivement dans les moyens et les infrastructures de nature à relever les défis de la mobilité et du réchauffement climatique. Ces besoins et ces urgences, nous avons hâte d'en débattre. ...
… risquent d'être juge et partie. Il faut donc que les décisions d'adaptation soient prises par d'autres qu'eux. Il faut objectiver ! D'autre part, nous estimons que le Conseil scientifique ne doit pas se prononcer sur l'opportunité d'organiser ou pas les élections, mais seulement sur les adaptations nécessaires pour la tenue du scrutin. Voilà ...
C'est une démocratie confinée, comme le dit Philippe Gosselin. Ces amendements visent donc à la déconfiner, et à nous assurer de l'objectivité des mesures nécessaires d'adaptation pour que le scrutin se déroule.
Il a dit clairement devant la représentation nationale qu'il avait fait l'objet de pressions au plus haut niveau de l'État.
… nous proposons d'adopter cet amendement qui vous oblige à prendre les mesures d'adaptation nécessaires dans le consensus qui préside, d'ailleurs, à l'examen de ce texte. Et celui-ci ne vaudra que s'il est consensuel. Les aménagements n'ont de sens que s'ils sont consensuels. Je le redis, vous êtes juges et partie. Bien sûr, vous aurez du mal...
mais vous présenterez des listes aux élections régionales – et peut-être même des candidats aux élections départementales, si vous en trouvez deux ou trois. Vous ne pouvez donc pas, surtout au vu des derniers sondages, juger à la fois de l'opportunité d'organiser ces élections et des modalités d'adaptation. C'est la raison pour laquelle cet ame...
J'ai demandé la parole pour fait personnel et mon intervention se fonde sur l'article que vous connaissez par coeur.
Il s'agit de l'article 58, alinéa 1. J'ai été expressément cité et je me dois de préciser ma pensée.
Je voudrais présenter mes plus plates excuses aux députés « marcheurs » : je ne portais pas un jugement de valeur sur les candidats, je redoutais que vous ne soyez pas capables d'en présenter. Pour tout vous dire, j'espère que vous serez en mesure d'en présenter, car je crois aux mérites de la démocratie
Je voulais simplement préciser ma pensée : j'espère, je le répète, que les « marcheurs » seront en situation de présenter des candidats dans les treize régions, sur la base du bilan de la politique gouvernementale, y compris de sa volonté de procéder à la réforme des retraites.
Instinctivement, cet amendement ne m'enthousiasmait pas : inscrire une campagne électorale dans une logique publicitaire, ce n'est pas notre éthique. Cela étant, force est de constater que les réseaux sociaux permettent aux candidats bien organisés de faire assurer leur promotion par des personnes qui ne sont pas sur leur liste. C'est assez fa...
Vous n'êtes pourtant pas des enfants de choeur ! Vous êtes la génération start up et avez inventé cela avant nous.
Il vaut mieux réguler et encadrer ces pratiques ; permettons-les pour qu'elles soient contrôlées dans le cadre de l'examen des comptes de campagne.
Si ç'avait été le cas, ç'aurait été amende assurée ! Après l'histoire de la poissonnière, vous imaginez bien qu'un doigt d'honneur, ça ne se fait pas non plus ! En tout cas, je souscris à cet amendement. L'incapacité à contrôler les réseaux sociaux permettant la promotion de ceux qui sponsorisent des publications, il vaut mieux encadrer strict...
Mon rappel au règlement se fonde sur le même article que celui cité par M. Lagarde, l'article 100. Vous avez beau vouloir adapter la Constitution, et modifier les libertés fondamentales à votre guise, le droit d'amendement est inaliénable.
Personne ne peut le contester. Il appartient au député ayant déposé un amendement de le défendre. Cette faculté ne peut être supprimée par la décision du bureau de l'Assemblée de n'offrir que deux prises de parole dont une d'opinion contraire à l'amendement.
… et répondre au Gouvernement s'il considère que les explications de ce dernier ne sont pas de nature à éclairer l'Assemblée.
Nous venons d'exprimer notre position sur le texte relatif à la prorogation de l'état d'urgence : nous sommes défavorables aux mesures exorbitantes du droit commun, et nous avons souligné à cette occasion que le pays, en cette période de crise sanitaire, ne souffrait pas d'un excès mais d'un défaut de démocratie. Étant donné la crise que nous t...
ensuite parce que l'on avait besoin que les maires soient au travail afin de prendre soin des habitants, de démontrer que la proximité était efficace, utile, vitale en cette période de crise. La même observation vaut pour les conseillers régionaux ; c'est la raison pour laquelle je résume ainsi la position de mon groupe : le rapport Debré, tout...