Les amendements de Stéphane Peu pour ce dossier
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Nous nous sommes demandé, à l'ouverture de ce débat, si la loi SRU devait être appliquée à l'échelle des villes ou à celle des intercommunalités, et je me félicite que le Gouvernement et M. le rapporteur pour avis aient opté pour la maintenir à l'échelle les villes. Toutefois, il faut admettre qu'il existe des différences sociales très importan...
À Marseille, mais aussi à Paris et à Lyon. C'est la raison pour laquelle nous proposons d'adapter la loi SRU pour que, dans ces trois villes, son application ait lieu à l'échelle des arrondissements.
Puisque je n'ai pas à proprement parler défendu l'amendement, je me permets d'ajouter une remarque. Je ne suis pas tout à fait d'accord pour dire que le système fonctionne. Notre analyse, qui est aussi celle de l'Union sociale pour l'habitat, est moins optimiste. Puisque chacun y va de son exemple, je prendrai celui de la ville de Levallois-Per...
Ce n'est pas un procès, c'est un constat. La commune parvient néanmoins à satisfaire aux exigences de la loi SRU en ne construisant quasiment que du logement spécifique en PLS. Or la vraie demande porte sur des logements familiaux très sociaux : en région parisienne, il faut dix ans d'attente pour un logement HLM de type F4 ou F5 adapté à une f...
Il s'agit de l'amendement que j'ai défendu par erreur tout à l'heure, qui vise à modifier les modalités de calcul dans les trois villes relevant de la loi PLM, c'est-à-dire Paris, Lyon et Marseille, afin que les dispositions de la loi SRU s'appliquent à l'échelle de chaque arrondissement, et non à l'échelle de la commune tout entière. Mon coll...
Il vise à supprimer la disposition qui bloque la possibilité donnée au représentant de l'État dans le département, c'est-à-dire au préfet, d'augmenter les objectifs triennaux de rattrapage dans communes carencées lorsque le fonctionnement des marchés locaux de l'habitat ne le permet pas, autrement dit dans les communes où le marché immobilier e...