Les amendements de Valérie Rabault pour ce dossier

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Cet amendement a été présenté en commission des finances mais n'a pas pu être défendu. Il préconise le rachat par l'État des parts du capital des aéroports de Lyon et Toulouse qu'il a vendues. Comme vous, je suis signataire de la demande de référendum d'initiative partagée relative aux aéroports de Paris. Avant de consacrer 2 milliards d'euros ...

Premièrement, plusieurs amendements ont proposé des transferts de crédits en vue d'empêcher la privatisation du groupe ADP ; le président de la commission des finances les a déclarés irrecevables en vertu de nouvelles règles, ou plutôt de règles qui existaient déjà auparavant, mais n'étaient pas forcément appliquées. C'est la même discussion qu...

du moins tous les groupes. Je vous assure que c'était le cas, monsieur le président de la commission des affaires économiques.

Députés et sénateurs confondus, nous avons réussi à obtenir 248 signatures émanant de douze groupes politiques, ce qui démontre l'existence d'un très large consensus contre cette privatisation.

Cet amendement n'a donc pas été examiné par la commission des finances, mais j'y donne un avis favorable, puisqu'il rejoint la démarche engagée en vue d'empêcher la privatisation des aéroports de Paris. J'aurais de nombreux arguments à vous soumettre, mais je ne sais pas si vous souhaitez en revenir à ce débat ; je me contenterai donc d'un seul...

Monsieur le secrétaire d'État, nous sommes tous sensibles à la bonne utilisation de l'argent public : personne ne conteste que c'est une nécessité. Mais il faudra que vous m'expliquiez pourquoi la France est le seul pays dont les grands aéroports ne soient pas tous détenus par la puissance publique,

à l'exception certes du Royaume-Uni, de la Roumanie et du Portugal. Je le répète, tous les aéroports des États-Unis – que vous connaissez bien, monsieur Lescure – sont publics !

Personne ne peut reprocher au président Trump d'être un homme de gauche ! La puissance publique a donc bien une raison de les conserver. Monsieur le secrétaire d'État, vous dites que vous ne répèterez pas les erreurs commises lors de la privatisation de l'aéroport de Toulouse. À l'époque, j'étais rapporteure générale du budget ; j'ai fait part...

La commission n'a pas examiné cet amendement mais, à titre personnel, j'émettrai un avis défavorable. En effet, l'État ne possède que 23,64 % du capital d'Engie et n'est donc pas majoritaire. Cette privatisation est donc différente des autres.

Cet amendement n'a pas été examiné en commission mais j'y suis favorable à titre personnel. Le Gouvernement et la majorité ont décidé de privatiser la Française des jeux dont le capital est détenu à 72 % par l'État. Ce choix, dont nous avons déjà débattu, emporte de graves conséquences, notamment pour le financement du sport.