Les amendements de Xavier Breton pour ce dossier
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Ça suffit, ces méthodes ! Ayez un peu de respect ! Si l'article 1er a été rejeté, c'est à cause du mépris dont vous faites preuve à l'égard du Parlement. Vous êtes ici devant la représentation nationale. Regardez-nous dans les yeux et cessez de fixer vos écrans.
C'est simplement une question de politesse, de respect. Nous en avons assez du mépris de ces ministres qui se présentent devant nous pendant deux heures sans répondre à nos questions, préférant pianoter sur leur téléphone pour discuter avec on ne sait qui par écran interposé ! Vous êtes là pour répondre à nos questions. Nous sommes là pour vou...
Si vous n'êtes pas parvenu à faire adopter l'article 1
En commission des lois, vous êtes resté de longues minutes sans répondre ! Alors que nous nous trouvions à deux mètres de vous, vous refusiez de nous écouter, monsieur le ministre des solidarités et de la santé ! Hier soir, alors que notre collègue Gosselin vous posait des questions, vous préfériez converser avec je ne sais qui sur votre téléph...
La question de fond est la suivante : puisqu'il est clair que les élections régionales et départementales ne se dérouleront pas dans des conditions normales, devons-nous intervenir davantage dans leur organisation et demander au service public de s'investir un peu plus ? Nous pouvons le faire sans remettre en cause l'égalité entre les candidats...
Sommes-nous une chambre souveraine ou une chambre d'enregistrement ? Telle est, en vérité, la question. Une chambre souveraine débat, et c'est ce que nous avons fait hier soir en discutant d'amendements et de sous-amendements, bien que de façon parfois laborieuse, et en votant sur l'article 1
En conscience, parce que les mesures qu'il contenait ne correspondaient pas à ce qu'ils souhaitaient, les députés ont rejeté cet article. Le Gouvernement, quant à lui, a la volonté de mettre au pas la majorité. Il a donc rappelé à l'ordre le président et les députés du groupe La République en marche jusqu'alors absents et les a enjoints de rej...
Le propos, c'est que les Français ont le sentiment de ne pas être écoutés par le Gouvernement. Ils se sentent humiliés et méprisés en raison de votre attitude. Un peu de respect, monsieur le ministre ! Cet hémicycle est le lieu du dialogue et non du pianotage sur son smartphone !