Forcément, quand on gère un pays comme une multinationale, on fait fi de sa composante fondamentale,…
…de ce qui fait l'essence, la force du pays : la famille.
Noyau de base de notre société, elle est le garant des valeurs et de l'éducation. C'est l'endroit où l'on se construit, où l'on aime à se retrouver ; il est primordial à l'équilibre de chacun.
À l'heure où nous assistons à une invasion migratoire sans précédent ,
Cela appelle une certaine retenue ; nous ne pouvons qu'entendre les femmes concernées, qui sont confrontées à des vies de plus en plus difficiles, rudes. Mais à l'heure où la société est de plus en plus clivée, il faut sérieusement poser la question : avait-on besoin de légiférer sur un sujet aussi sensible ?
Les première et deuxième révolutions industrielles ont fait de la France une grande puissance. Malheureusement, le déclin amorcé depuis la récession charbonnière, puis textile et métallurgique, n'a jamais été stoppé ! Les régions Hauts-de-France et Grand Est ont été les plus affectées. En 1975, les entreprises industrielles employaient plus du tiers des 25-54 ans dans ces territoires – 39 % dans les Hauts-de-France et 37,4 % dans la région Grand Est. Quarante ans plus tard, en 2014, le poids de l'industrie dans l'emploi régional n'était plus que de 14,9 % dans les Hauts-de-France et de 17,1 % dans la région Grand Est. Et la chute se poursuit depuis ...
Et avec beaucoup d'autosatisfaction !
Permettez-moi de vous dire combien je suis honoré de siéger dans l'hémicycle, même si cela intervient dans des circonstances particulières, à la suite du décès de mon prédécesseur. L'Assemblée a vu passer de grands personnages de la troisième circonscription du Pas-de-Calais, dont je suis l'élu – je pense à Émile Basly, André Delelis et Jean-Claude Bois. J'en viens à mon amendement. Les dispositifs prévus à l'alinéa 20 sont attentatoires aux libertés fondamentales des Français. Le texte pérennise des mesures qui étaient destinées à demeurer exceptionnelles et temporaires. Il s'agit pour le Gouvernement, non pas d'instaurer des mesures qui ...
En 2020, plus de 200 000 interruptions de grossesse ont été pratiquées dans notre pays. Cela représente près de trente IVG pour cent naissances. De tels chiffres ont de quoi interpeller. Sans remettre en cause le droit à l'IVG, cet acte tend à se banaliser dans notre société, ce qui pose forcément des questions de fond. Tout d'abord, les IVG ne sont pas sans laisser de traces psychologiques pour les femmes qui y recourent. Leurs motivations traduisent bien souvent de la détresse sociale ; elles seraient en peine d'assumer un poids matériel supplémentaire. La peur de l'avenir et le manque de perspectives à offrir aux enfants impliquent que l'IVG constitue bien ...
rien n'est décidé pour encourager la natalité chez nos concitoyens. Comme le déclarait Simone Veil, 200 000 IVG, ce sont autant de drames.