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Commission des affaires sociales - Intervention le 03/06/2020

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Guillaume Peltier, rapporteur

Guillaume Peltier La proposition de loi est évidemment perfectible. Je suis tout à fait ouvert à un abaissement du plafond de la rémunération. J'ai choisi le niveau de 4,5 SMIC en hommage, pour ainsi dire, à la majorité parlementaire, puisque le Gouvernement avait retenu ce plafond pour l'octroi du chômage partiel. Il est cocasse de voir que vous refusez, au sujet de l'emploi des jeunes, ce que vous approuvez au titre du chômage partiel. Bien sûr, la jeunesse est en difficulté. Nous savons tous que 75 % de nos jeunes gagnent moins de 1 500 euros. Dans un premier temps, nous avons voulu ouvrir le débat en reprenant votre idée d'un seuil à 4,5 fois le SMIC, sans établir de ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 03/06/2020

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Guillaume Peltier, rapporteur

Guillaume Peltier Merci de m'accueillir au sein de votre commission. Cette proposition de loi entre particulièrement dans le champ des compétences de la commission des affaires sociales en matière de travail, d'emploi et de cotisations. Nous sommes confrontés à une crise sanitaire, économique et sociale sans précédent et nous découvrons chaque jour des chiffres terribles. Nous sommes en pleine récession : 8 points de la richesse nationale perdus, soit pire qu'en 1870 et en 1914 ! En 1944, seulement ce fut plus tragique, avec 15 points de moins. Au mois d'avril, le chômage a ainsi augmenté de 23 %, soit 843 000 Français de plus laissés au bord du chemin. Chez les jeunes, la ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 28/03/2018

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Guillaume Peltier

Nous nous étonnons donc que la majorité ne suive pas la remarquable proposition de Julien Dive. En somme, il nous semble plus qu'opportun de soutenir cette mesure. Songeons à ce que rappelait constamment Victor Hugo dans Les Misérables : la noblesse de l'engagement politique consiste à savoir créer des richesses, mais aussi à les redistribuer !

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Commission des affaires sociales - Intervention le 28/03/2018

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Guillaume Peltier

Et si nous sortions pendant quelques instants des postures et des idéologies pour revenir au réel, au terrain ? Deux certitudes s'imposent à chaque député. Tout d'abord, aucun – je dis bien aucun – d'entre nous ne peut prétendre croiser des concitoyens qui se réjouissent d'une nette augmentation du pouvoir d'achat. Augmentation de la CSG, du prix du fioul, du prix du diesel et de celui de l'essence, du prix du timbre ou encore des frais bancaires : tout démontre la baisse du pouvoir d'achat de nos concitoyens. Voilà pour le premier principe de réalité. Et maintenant, le second : il est rare de rencontrer des travailleurs qui ne jugent pas favorablement la ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 27/03/2018

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Guillaume Peltier, rapporteur

Guillaume Peltier Je me réjouis que l'amendement précédent ait été adopté. Celui-ci est dans le même esprit. Aussi, j'y suis favorable. La proposition de loi vise à apporter un soutien significatif en termes de pouvoir d'achat à l'ensemble des salariés du privé et du public et notamment aux apprentis. Tout ce qui permettra d'inciter progressivement nos concitoyens, à travers le véhicule électrique ou mieux encore le covoiturage, doit être privilégié. Un taux de contribution de 80 % en faveur de ceux qui pratiquent le covoiturage me semble donc aller dans la bonne direction.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 27/03/2018

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Guillaume Peltier, rapporteur

Guillaume Peltier Autant nous sommes opposés à l'idée de fixer un taux définitif qui interdirait une forme de négociation au sein des entreprises, autant il est possible de s'inspirer de la réussite du titre-restaurant qui prévoit une fourchette de taux modulable. Je vous propose cependant d'ouvrir l'écart que vous proposez et de remplacer « 60 % » par « 80 % », notamment afin d'offrir une bonification intelligente aux salariés qui pratiqueraient le covoiturage. La part contributive de l'employeur représenterait ainsi entre 50 % et 80 % de la valeur du ticket-carburant.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 27/03/2018

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Guillaume Peltier, rapporteur

Guillaume Peltier Même si l'intention de votre amendement est louable, plafonner le montant des tickets-carburant au coût effectif des trajets entre le domicile et le travail est inopérant, puisqu'il n'a jamais été possible de définir, même à travers la question des frais réels, le coût de ce trajet à l'euro près. J'ajoute que rien n'empêche un salarié de faire un détour pour éviter un embouteillage ou pour aller chercher un enfant en sortant du travail. Faut-il prévoir ces cas ? Aussi fixer un plafond à l'euro près compliquerait le dispositif. Avis défavorable.

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Commission des affaires sociales - Intervention le 27/03/2018

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Guillaume Peltier, rapporteur

Guillaume Peltier Si nous avons entendu un seul lobby, c'est celui des Français modestes qui, dans les territoires éloignés des grandes agglomérations, doivent user de leur voiture individuelle, faute d'investissement à leur profit dans les infrastructures de transport. Cette proposition est une proposition de justice sociale. Deux de vos quatre amendements me paraissent aller dans le bon sens de ce point de vue. Mais, quoique je comprenne toute la philosophie liée à la promotion de l'environnement, il me semble inopportun de dire à ceux qui, pendant dix à quinze ans, ont été incités à acheter des véhicules diesel, qu'ils devraient désormais passer du jour au lendemain à la ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 27/03/2018

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Guillaume Peltier, rapporteur

Guillaume Peltier Merci à tous, chers collègues, pour vos interventions, critiques et soutiens appuyés. J'ai bien entendu, cher collègue Belhaddad, vos arguments. Je ne développerai pas un contre-argumentaire. Vous avez défendu votre majorité et votre gouvernement, mais nous considérons, pour notre part, à l'instar d'une écrasante majorité de nos compatriotes que la question du pouvoir d'achat est centrale. Au-delà de la stricte question de la hausse de la CSG, qui pénalise déjà grandement les retraités, et malgré les différents dispositifs, comme la baisse des cotisations que vous avez très justement soulignée, il s'agit plutôt d'une asphyxie. Il est aujourd'hui rare, ...

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Commission des affaires sociales - Intervention le 27/03/2018

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Guillaume Peltier, rapporteur

Guillaume Peltier Mes chers collègues, je suis particulièrement honoré de vous présenter, au nom du groupe Les Républicains, cette proposition de loi qui vise à la création d'un ticket-carburant. Avec l'assistance des services de l'Assemblée nationale, que je remercie, nous avons consulté, rencontré et auditionné les partenaires sociaux, les représentants des élus et ceux d'un certain nombre d'associations pour aboutir à un texte que nous estimons juste et équilibré, de nature à répondre à l'attente grandissante d'une grande partie de nos compatriotes, en particulier ceux qui vivent dans les territoires ruraux et périurbains. Actuellement, 51 % des Français vivent dans ...

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Commission des affaires culturelles et de l'éducation - Intervention le 25/07/2017

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Guillaume Peltier

En vous écoutant, monsieur le président, on voit combien vous êtes un amoureux de la langue française. Vous maniez les mots avec talent. J'espère qu'à la suite de ce compliment sincère, vous serez particulièrement attentif à ma question. L'article 3-1 de la loi de 1986 pose la nécessité pour le CSA de défendre la langue française et, dans le prolongement de la question de M. Cormier-Bouligeon sur un nivellement par le bas extrêmement préoccupant de notre langue, qui constitue pourtant la colonne vertébrale de l'émancipation, de l'esprit critique, de la grandeur et du rayonnement de notre pays mais aussi du lien fondamental entre chaque citoyen, dans le ...

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Commission des affaires culturelles et de l'éducation - Intervention le 19/07/2017

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Guillaume Peltier

Je poserai une question d'ordre civique à trois entrées. On vient de parler de diversité, à juste titre. Mais quelles garanties offrez-vous à l'expression de la diversité des opinions, y compris dans le commentaire journalistique ? Les journalistes et les médias, comme les hommes politiques, subissent un sentiment de défiance dans notre société. Comment répond-on, par le prisme médiatique, à cette problématique ? L'éducation aux médias est l'un des grands enjeux des années à venir. Comment aiguiser l'esprit critique, en particulier de la jeunesse, dans notre République ? Enfin, et ce n'est pas une question piège, vous n'êtes pas chef d'état-major ...

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