Interventions sur "grave"

41 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaOlivier Marleix :

Cette situation est très grave. Chers collègues de la majorité, au lieu de répéter de façon pavlovienne « Il faut voter ! » comme vous le faites si docilement depuis un an, je vous invite à visionner à nouveau les vidéos où l'on voit M. Benalla frapper certains de nos concitoyens tandis qu'ils sont à terre, et à vous interroger sur le dispositif qui a permis que cela soit possible. Pour défendre nos institutions, …

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarie Guévenoux :

Les faits dont nous parlons sont graves et choquants, comme l'ont dit les députés de tous les groupes, y compris celui de la majorité, que vous ne pouvez pas mettre en cause sur ce point. C'est aussi pour cela qu'à l'unanimité des groupes, il a été décidé, grâce à l'initiative de la présidente de la commission, de transformer la commission des lois en commission d'enquête.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHervé Saulignac :

Nos travaux sont à l'arrêt depuis hier ; cela faisait bien longtemps que cette assemblée n'avait pas connu une telle situation. Personne ne s'en réjouit ; c'est grave et cela peut durer. Et non, monsieur le rapporteur général, je n'ai pas le sentiment d'être un saboteur quand je défends la légitimité de l'Assemblée à exiger du ministre de l'intérieur qu'il vienne donner ici des explications à ceux qui représentent le peuple !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaChristine Pires Beaune :

Depuis la fin de la séance précédente, à une 1 heure 15 ce matin, un fait nouveau est apparu. C'est un fait particulièrement grave, …

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHubert Wulfranc :

...jorité, tant votre action va à l'encontre de la démocratie sociale telle que nous l'entendons, à l'encontre de la démocratie économique telle que nous l'entendons, à l'encontre de la démocratie politique telle que nous l'entendons. Cette honnêteté, nous vous la devons, mais vous, vous nous offrez un motif pour notre conduite : non pas un fait divers, comme vous l'avez dit, mais un acte politique grave qui implique le Président de la République, celui qui est le gardien de la Constitution, à l'heure même où nous en examinons un projet de réforme ! Dans ces circonstances, oui, nous allons poursuivre cette obstruction !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPatrick Hetzel :

Nous ne pouvons pas poursuivre nos travaux comme si de rien n'était ! La Constitution doit s'appliquer, alors que nous siégeons ici en assemblée constituante. Le sujet est grave ; nous avons besoin de savoir.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaDavid Habib :

Au fil des interventions, nous en sommes déjà à énumérer toutes les personnes susceptibles d'être auditionnées par la commission d'enquête. Mais Mme la présidente de la commission des lois a eu raison de rappeler que celle-ci devait être formée selon la procédure en vigueur et dans le respect que ce type d'institution exige de chacun d'entre nous. Cela étant, l'heure est grave. Rappelons que nous sommes supposés examiner un projet de loi qui traite de l'organisation des pouvoirs. Or nous ne pouvons pas, alors que nous assistons depuis vingt-quatre heures à l'abaissement du Parlement, reprendre un débat qui porte justement sur la place des différentes institutions dans la République ainsi que sur les relations qu'elles entretiennent.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaLaurent Furst :

À ceux qui estiment que nous ne vivons pas un moment grave, je rappelle qu'un chef de cabinet adjoint de l'Élysée se trouve à cette heure en garde à vue. Eu égard à cette situation et à la situation de droit que j'ai décrite, la poursuite nos travaux est impossible et irrationnelle.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPierre Dharréville :

...es, qui sont légitimes, et notamment que le Gouvernement vienne s'exprimer devant nous – c'est lui qui a proposé la réforme que nous sommes en train d'examiner. Les faits, qui ont été décrits à de multiples reprises – je ne recommencerai donc pas – , ont suscité de multiples réactions dans le monde politique, et aussi dans la société ; des syndicats ont porté plainte. La situation est extrêmement grave. Que vous le vouliez ou non, cela a inévitablement des répercussions sur notre discussion, qui porte sur l'organisation des pouvoirs, le bon fonctionnement de nos institutions, l'équilibre des pouvoirs, les pouvoirs du Président de la République, les pouvoirs du Parlement face au Président de la République et, plus généralement, au sein de nos institutions. Notre discussion est lourdement impact...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexis Corbière :

L'affaire touche en effet à des sujets graves, au coeur de l'État. Peu importe que vous continuiez à hausser le ton en usant de termes injurieux, comme celui de « cyniques ». Qu'est-ce que le cynisme, d'ailleurs, sinon le mépris de la morale et de la justice ?

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJimmy Pahun :

Vous avez raison, monsieur Furst, de dire que nous parlons ici de choses graves. Mais voyez comme le Gouvernement et la majorité sont responsables.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJimmy Pahun :

Je veux aussi rappeler que cette affaire est grave, que le comportement de ce monsieur est absolument scandaleux, et que j'espère qu'il sera puni ! C'est tout ce que j'ai à vous dire ! On parlait des « barbouzes ». Dans le temps, les barbouzes, ça se terminait par la tuerie d'Auriol. Aujourd'hui, ça se terminera par une commission d'enquête : voilà le changement !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMeyer Habib :

Cette triste affaire, qui était à l'origine un fait divers grave – des manifestants tabassés sans raison évidente – , est devenue une affaire d'État, dont on parle hors de nos frontières. Avez-vous lu ce matin la presse internationale ? C'est le Président de la République qui doit s'exprimer : c'est ce que chaque Français pense au plus profond de lui-même. De quoi s'agit-il ? Un homme responsable de sa sécurité s'est pris pour une sorte de Rambo, qui rêvait ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMeyer Habib :

Eux ont un devoir de réserve ; ils sont armés et portent un brassard de police. L'homme dont nous parlons tutoie le Président de la République, à qui il était manifestement très fidèle. Il a, tout aussi manifestement, commis une erreur grave, que l'on ne peut camoufler. Les Français nous regardent ! Dieu sait si je ne suis pas, en politique, un « fan » de la France insoumise, mais nous parlons, je le répète, d'un homme qui manifestait de façon normale, et qui a été tabassé ! Le ministre de l'intérieur et le Président de la République doivent donc s'exprimer.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaNicolas Turquois :

J'interviens ici en tant que député d'une majorité à laquelle j'assume, aujourd'hui, d'appartenir. Bien sûr, cette affaire m'interpelle. Évidemment, elle ne me plaît pas ; évidemment, elle soulève des questions ; évidemment, nous nous demandons tous s'il n'y a pas, derrière tout cela, des faits plus graves.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaHélène Zannier :

… en particulier la réduction du nombre de parlementaires. Les faits évoqués depuis deux jours sont graves. Personne, ici, ne le nie. C'est bien pour cela que pas moins de trois enquêtes sont diligentées. Hier, nous avons envisagé toutes les solutions possibles pour créer une commission d'enquête. Vous le savez : vous étiez présents.