Interventions sur "infrastructure"

44 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichel Castellani :

L'importance de la politique des transports et des infrastructures pour la viabilité des différentes régions est un aspect essentiel du texte, qu'il s'agisse des zones de montagne ou des zones rurales, notamment. Il en est de même des territoires insulaires – nous n'avons pas pu examiner, malheureusement, l'amendement de Gabriel Serville – et du concept de continuité territoriale. Il est essentiel pour les territoires insulaires et les territoires ultramarins ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBenoit Simian :

Dans les travaux menés, sous la présidence de Philippe Duron, dans le cadre du Conseil d'orientation des infrastructures, on a longuement travaillé, avec la présidente Barbara Pompili, sur le sujet de la continuité des territoires, qui a fait l'objet d'un titre entier. Vous avez raison, il faut envoyer un message à nos outre-mer, et c'est un sujet qui a particulièrement retenu notre attention. Cet amendement n'engage à rien : j'aimerais comprendre la raison de cet avis défavorable.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBérangère Abba, rapporteure de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire :

Je ne crois pas du tout que cet amendement soit rédactionnel : il me semble clairement restrictif. S'agissant de la pollution liée aux infrastructures de transports, on peut parler, par exemple, de la pollution de l'eau, des sols, ou de pollution sonore, qui sont d'autres types de pollution que la pollution atmosphérique.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBérangère Abba, rapporteure de la commission du développement durable et de l'aménagement du territoire :

Nous discutons du titre consacré aux investissements de l'État dans les transports. La priorité est clairement donnée aux solutions alternatives à l'usage individuel de la voiture. Une réflexion est engagée sur la participation des modes de transports les plus polluants au financement des infrastructures et des mobilités plus propres. Nous allons la poursuivre dans les heures qui viennent, à n'en pas douter. Nous ne voulons pas mettre à terre ou en difficulté des pans entiers de notre économie qui font face à une concurrence étrangère n'apportant aucune plus-value écologique. Avis défavorable.