Interventions sur "jeune"

106 interventions trouvées.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMichel Larive :

...rendre en compte la situation des étudiants boursiers, afin d'assurer la réussite des étudiants dans leur ensemble, dans un objectif de démocratisation de l'accès aux études supérieures. Aussi faut-il prendre en compte la part contributive des étudiants les plus défavorisés dans les prestations de restauration et de logement assurées par le CROUS et oeuvrer à l'autonomie et à l'émancipation de la jeunesse. Un investissement prioritaire est impératif pour assurer la diversité et la pluralité.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAlexis Corbière :

C'est à l'honneur de ce pays que la jeunesse se soit mobilisée contre ceux qui voulaient augmenter les droits d'inscription. Je suis, quant à moi, fier d'avoir commencé mon émancipation et éveillé mon esprit critique contre le projet de loi Devaquet aux mois de novembre et décembre 1986.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean Lassalle :

... beaucoup de Français, lesquels n'ont aucune envie de revenir chez nous, comme me l'ont confirmé M. l'ambassadeur de France et Mme la consule générale. C'est un point sur lequel nous pourrions nous attarder quelques minutes : pas ce soir, parce qu'il faut examiner le texte le plus rapidement possible, mais dans les semaines qui viennent. Ne nous voilons pas la face : une très grande partie de nos jeunes ne restent en France ni pour étudier ni pour travailler. J'ai même vu, alors que nous ne trouvons pas un seul médecin pour nos campagnes, des dizaines de médecins s'installer dans ces pays.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaMarion Lenne :

Cet amendement propose d'insérer le mot « accueil » pour aller dans le sens d'un texte qui améliore significativement les conditions de vie et d'études des jeunes, déterminantes pour leur réussite. L'accueil ou la bienvenue, dès leur arrivée sur le campus, comme leur accompagnement personnalisé, favoriseront l'intégration des 200 000 étudiants supplémentaires attendus dans les cinq prochaines années. L'accueil constitue le premier contact et la première image qu'ils se feront de nos universités ; la transition du lycée vers ce premier cycle représente po...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Luc Mélenchon :

...claire de la nécessité, au-delà de ce projet de loi, de trouver les moyens d'en finir avec le mécanisme d'une reproduction sociale aussi grossière que celle que nous avons pu observer dans un passé récent. Il faut envisager celle-ci non seulement sous l'angle de la justice, propre à l'État républicain, mais aussi sous celui du gâchis : se priver des compétences et des capacités d'une partie de la jeunesse en raison de son origine sociale est un gâchis terrible pour le pays. Il faut que les « élites » sociales – elles ne sont pas toujours des élites humaines, ni des élites tout court – d'un pays ressemblent au pays lui-même. Hélas ! ce n'est pas le cas aujourd'hui, pour la France. Cela finit par créer une césure dans la société, qui produit un mécanisme d'auto-blocage, chacun pensant « ce n'est...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGeorge Pau-Langevin :

...re dont les formations de BTS et d'IUT, conçues pour les bacheliers technologiques ou professionnels, sont abondamment « squattées » par des bacheliers S ou ES. Ainsi en sont évincés ceux auxquels elles sont destinées et qui, lorsqu'ils y entrent à l'université, sont les premiers à y échouer. Il faut donc poursuivre et amplifier la démarche de Mme Fioraso en accordant une attention spécifique aux jeunes issus des filières technologiques et professionnelles, pour leur redonner une vraie place dans l'enseignement supérieur et réduire le taux d'échec en première année de licence. Je le répète, peut-être le quota n'est-il pas la meilleure formule pour cela, mais il s'agissait de souligner l'influence de ce problème sur la réussite à l'université.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGabriel Attal, rapporteur de la commission des affaires culturelles et de l'éducation :

Madame Rist, j'entends l'objectif de cet amendement et je sais votre engagement en faveur de la prévention en matière de santé en général, et pour les jeunes en particulier. Il existe cependant une véritable incertitude technique quant à l'inscription des CHU comme acteurs de la médecine préventive, qui ne fait pas directement partie de leurs missions. Je vous demande donc de retirer cet amendement. Sans doute Mme la ministre nous donnera-t-elle davantage de précisions sur les motifs de cette situation.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaJean-Luc Fugit :

...u trente-cinq. Cela améliorera le travail entre les professeurs du secondaire et le personnel d'accompagnement et d'orientation, notamment celui des centres d'information et d'orientation, CIO, et renforcera la qualité de l'orientation. Il serait peut-être temps de retrouver un peu de confiance dans ce personnel, de lui donner un nouveau cadre et de l'aider ; cela redonnerait de l'optimisme à nos jeunes !

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSabine Rubin :

...Nous suggérons de préciser que le dispositif a vocation à être temporaire et qu'il sera supprimé une fois que les places nécessaires pour répondre à l'augmentation du nombre d'étudiants et à leurs demandes auront été créées. Cela ne se fera sans doute pas en un an mais peut-être que, dans quelques années, le budget permettra qu'il n'y ait plus de filière en tension et que l'on accueille tous les jeunes dans les filières de leur choix.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaSabine Rubin :

... C'est la raison pour laquelle il nous est difficile d'entrer dans le détail des amendements déposés sur ce projet de loi, et des aménagements que vous proposez, qui introduisent des quotas, des critères et des attendus. Cela conduit à des aberrations, comme sur la question du nombre d'étrangers. Je voudrais rappeler que nous sommes O. K. pour la réussite, et donc O. K. pour l'accompagnement des jeunes.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaVirginie Duby-Muller :

...que de porter atteinte à l'égalité des chances entre les étudiants. En effet, la suppression du critère du lieu d'habitation pour l'affectation dans un établissement, certes tempérée par un pourcentage maximal de mobilité autorisée par formation, pourrait conduire à rejeter, pour des raisons de capacités d'accueil, des étudiants du territoire qui répondent pourtant aux attendus mentionnés. Et ces jeunes gens pourraient être amenés à renoncer, pour des raisons financières, à aller étudier loin de chez eux. Les meilleurs étudiants auront le choix entre de très nombreuses formations et ils pourront se déterminer en fonction de la lisibilité de ces dernières, des masters qu'ils viseront, du taux de réussite au sein de ces filières, ou encore de l'accessibilité de la ville, voire du coût du logemen...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBruno Bilde :

Enfin, la méritocratie républicaine ! Là où le mérite s'efface, c'est le niveau de nos universités qui trépasse, et ce sont les établissements privés qui se frottent les mains. C'est toute une génération de jeunes bacheliers qui est démoralisée par l'échec en première année de licence. L'article 2 redonne quelques lettres de noblesse à l'examen du baccalauréat. Il démontre également que cet examen national, dont certains rêvent la mort, matin, midi et soir, est désormais indispensable pour sanctionner un niveau de connaissances, que tout le monde juge aujourd'hui très insuffisant. Chers collègues, nous ...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaGeorge Pau-Langevin :

J'abonde dans le sens d'Anne-Christine Lang : il est clair que, au départ, ce dispositif avait été conçu par des progressistes, précisément pour élargir le recrutement des classes préparatoires. Son extension me semble donc plutôt une bonne mesure, de nature à permettre à davantage de jeunes, y compris de nos quartiers populaires, d'imaginer qu'ils peuvent accéder à des filières sélectives et y réussir.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAnne Brugnera :

...mise en demeure de la Commission nationale de l'informatique et des libertés – CNIL. J'ai lu et entendu tout à l'heure des propos inadmissibles. Pour certains, quelques tirages au sort, ce serait « tolérable » ou bien encore notre réforme pourrait « être reportée de quelques années ». Mais non, ce n'est pas acceptable ! Laisser perdurer des situations aussi injustes serait comme abandonner notre jeunesse. Or nous voulons agir pour elle. Grâce à la qualité de la concertation conduite par vos équipes, madame la ministre, et par nos partenaires du monde de l'éducation, le projet a été enrichi, des pistes ont été proposées, des idées ont été approfondies et elles se traduisent dans ce texte. Celui-ci apporte des améliorations majeures dans le parcours des jeunes bacheliers vers le supérieur, et ce...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAnne Brugnera :

Notre objectif est clair : améliorer la réussite étudiante pour permettre à notre jeunesse de s'émanciper par l'accès au travail et au savoir. Nous abordons ce débat avec envie et responsabilité, dans l'écoute et le respect mutuel,...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaConstance Le Grip :

...ate une véritable évolution de l'opinion publique française, qui se montre massivement – bien plus que par le passé, si l'on en croit plusieurs enquêtes d'opinion – favorable à l'instauration d'une forme de sélection. Selon un récent sondage IPSOS paru dans L'Obs, 66 % des Français sont favorables à une forme de sélection. L'ensemble de la population se retrouve sur cette position, y compris les jeunes de 16 à 24 ans, premiers concernés par la mesure, qui l'approuvent à 65 %, contre 43 % il y a dix ans. Tout se passe comme si les Français avaient compris que sélection pouvait rimer, et rimait souvent, avec qualité. Les timides « prérequis » envisagés dans un premier temps et devenus depuis les euphémiques « attendus » ne répondent pas à cette attente, loin s'en faut. Ni le premier mot ni le s...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaPhilippe Berta :

Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le président de la commission, monsieur le rapporteur, chers collègues, le plan Étudiants du Gouvernement, dont ce projet de loi est la pierre angulaire, relève enfin le défi de la réussite de notre jeunesse, à ce moment charnière qu'est le passage de l'enseignement secondaire à l'enseignement supérieur. Il prend enfin acte de la démographie étudiante, si mal anticipée, et vise à compenser par une meilleure information et un accompagnement dans l'orientation les inégalités sociales et culturelles entre élèves et entre familles. Par une orientation active des lycéens, il vise aussi à mettre un ter...

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBéatrice Descamps :

...ellement opposée à l'instauration d'une sélection généralisée à l'issue du lycée. Cela ne laisserait pas de seconde chance au candidat, à un âge où l'on se cherche et où l'on a parfois besoin de temps pour mûrir son projet professionnel. La solution que vous proposez présente l'avantage du pragmatisme. En maintenant le principe de liberté de choix du candidat, vous ne fermez aucune porte à notre jeunesse.

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaBéatrice Descamps :

...l est également regrettable, à six ans des Jeux olympiques de Paris, qu'il n'ait pas été fait un effort d'harmonisation des modalités de poursuite d'études des étudiants sportifs de haut niveau – je fais allusion à mon amendement. Nous savons tous ce que la vie de préparation d'un athlète peut comporter comme efforts, souffrances et sacrifices et à quel point les études sont primordiales pour des jeunes dont la carrière sportive sera terminée à 30 ans. Des dispositifs spécifiques existent dans beaucoup d'universités mais ils sont très variables de l'une à l'autre et représentent souvent un obstacle à l'inscription. Une harmonisation de ces dispositifs aurait été la bienvenue pour nos jeunes athlètes. Le texte ne tient pas non plus compte de la situation particulière des étudiants en outre-mer ...