Les amendements de Amélie de Montchalin pour ce dossier

8 interventions trouvées.

Dans cet hémicycle, nous avons le devoir de ne pas nous payer de mots, de ne pas faire de menaces ni de donner l'impression que la politique ne serait qu'un vaste théâtre.

M. le ministre explique que cette mesure est certes symboliquement intéressante – je pense que tout le monde, sur ces bancs, peut vous l'accorder – , mais le chiffrage montre qu'elle est coûteuse. Il y a peut-être d'autres mécanismes à envisager. Nous allons mener un grand débat sur la réforme du mécénat, les fondations d'utilité publique et le...

Nous ne sommes pas contre les Restos du coeur, nous les soutenons. Dans tous nos territoires, nous sommes engagés à leurs côtés.

Du concret qui coûte 38 millions au budget de l'État. Le ministre et le rapporteur général nous indiquent que cette politique n'est aujourd'hui pas financée…

Les précisions apportées par le ministre sur l'aménagement auquel il compte procéder concernant l'assujettissement à la taxe d'habitation et à la redevance audiovisuelle pour les personnes dont il est ici question, constituent une avancée significative pour des ménages ou des personnes souvent seules qui peuvent avoir à connaître des variations...

Ce qui est en train de se passer à travers cet amendement est très important. Le Gouvernement met sur la table un plan de transformation des CCI qui permettra de réduire la taxe sur les entreprises de 400 millions en quatre ans. Les CCI, dès lors, doivent consentir un effort considérable pour se transformer, se réorganiser, fusionner leurs moye...

Le premier coût pour elles, dans ce cadre, tient à la réorganisation des ressources humaines, pour laquelle nous avons à les accompagner. La majorité a déjà exprimé ses réticences quant à une transformation sans accompagnement adapté. Il nous paraît important d'adopter l'amendement ici proposé, car il permettra notamment de faciliter la transf...

Sur la base de l'article 58, alinéa 2, concernant la sérénité de nos débats. Vous m'avez désignée, monsieur Chenu, en expliquant que je tapais sur les doigts de mes collègues. L'image de la maîtresse d'école est souvent assignée aux femmes dès qu'elles jouent un rôle. Dans cette majorité, nous ne tapons sur les doigts de personne.