Publié le 18 mars 2019 par : Mme Brenier, Mme Anthoine, Mme Bazin-Malgras, M. Reda, M. Masson, M. Pierre-Henri Dumont, M. Le Fur, M. Brun, M. Viala, Mme Louwagie, M. Pauget, Mme Ramassamy, M. Lurton, M. de Ganay, M. Leclerc, M. Dive, Mme Trastour-Isnart, M. Vialay.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
La baisse du nombre de gynécologues obstétriciens (-6 % entre 2011 et 2020) devient un problème majeur de notre système de santé. Il est donc primordial de renforcer le rôle et la légitimité des sages-femmes. Elles pourront ainsi assurer un suivi médical des patientes tout au long de leur vie si ces dernières le souhaitent. Elles pourront également les orienter vers un professionnel de santé sans passer par le médecin traitant, facilitant ainsi la procédure pour la patiente et désengorgera les services ou cabinets de médecine généraliste.
Coordonner l'action des professionnels de santé, réduire les dépenses publiques de santé et prévenir les risques, tant d'objectifs de santé publique que cette reconnaissance pourrait apporter.
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