Publié le 27 octobre 2020 par : Mme Yolaine de Courson, Mme Chapelier, M. Villani, M. Taché, M. Orphelin, M. Nadot, M. Julien-Laferrière, Mme Gaillot, Mme Forteza, M. Chiche, Mme Cariou, Mme Bagarry.
Cet amendement a été déclaré irrecevable après diffusion en application de l'article 98 du règlement de l'Assemblée nationale.
Cet amendement vise à accroître les moyens dédiés aux actions sanitaires et sociales des directions départementales de la protection des populations, en particulier chargées de mettre en œuvre la politique de santé animale des élevages.
Les cellules assurant le service de prévention et de détection évaluant notamment le bien-être animal sont composées de vétérinaires siégeant bénévolement. Pour que leur action puisse être renforcée, il convient de créer un cadre financier permettant d’organiser le recrutement de vétérinaires pour développer et systématiser la prévention et l’accompagnement des éleveurs à des pratiques orientées vers le bien-être animalier.
Les nouveaux crédits alloués pourraient permettre de créer trois équivalents temps plein vétérinaires dans chaque cellule « bien-être animal » de chaque DDPP.
Pour que les pratiques agricoles évoluent vers des modèles plus respectueux du bien-être des animaux, l’Etat doit doter les territoires de moyens humains et financiers stables permettant d’apporter des solutions concrètes et proportionnées aux éleveurs pour prévenir les cas de maltraitance animale.
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