Publié le 16 octobre 2021 par : Mme Bureau-Bonnard, M. Vignal, M. Templier, M. Ardouin, Mme Guerel, M. Cabaré, Mme Gipson, Mme Thourot, Mme Vanceunebrock, Mme Robert, M. Delpon, Mme Brulebois.
La deuxième phrase de l’avant-dernier alinéa de L’article L. 4321-1 du code de la santé publique est complétée par les mots : « ,ainsi que de l’activité physique adaptée ».
De très fortes tensions entre l’offre et la demande de soins en kinésithérapie sont observées, notamment sur les territoires sous-dotés. Permettre aux kinésithérapeutes de prescrire de l’activité physique adaptée (APA) permettrait d’orienter précocement en fin de soins certains patients vers une prise en charge adaptée permettant de contribuer à leur bonne santé et de limiter les récidives. Si l’APA n’est pas remboursée par la Sécurité sociale, sa prescription peut générer des économies non-négligeables en contribuant à la prévention des maladies chroniques (diabète, cholestérol, lombalgie…) mais aussi lutter contre la sédentarité et l’obésité.
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