Publié le 28 mai 2018 par : M. Frédéric Petit, Mme de Vaucouleurs, Mme Benin, M. Isaac-Sibille, M. Hammouche, Mme Elimas, Mme Gallerneau.
À l'alinéa 26, après le mot :
« dédié »,
insérer les mots :
« , en apportant un cadre adapté aux apprentis ressortissants de l'Union européenne en période de mobilité ».
Cet amendement est une proposition de variante du précédent.
Les apprentis étrangers rebutent à venir étudier en France car les cours n'y sont pas adaptés et préfèrent s'orienter vers des pays jugés plus ouverts comme la Suède, les Pays-Bas, le Danemark ou l'Allemagne. Les CFA doivent prendre en compte que la dimension pédagogique de certains secteurs nécessite une adaptation interculturelle et une ouverture sur d'autres langues.
Cet amendement, c'est aussi la possibilité de développer les filières bilingues, les passerelles entre les pays, les établissements de formation et les entreprises. Par ailleurs, comme l'a exposé le Président de la République, « la solution est celle de la pluralité des langues » lorsqu'il évoquait les aspects de la francophonie économique lors de son discours à l'Institut de France le mardi 20 mars 2018.
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