Les amendements de Annie Chapelier pour ce dossier

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L'évolution du statut d'infirmier anesthésiste vers la pratique avancée a été écartée et renvoyée à la rédaction d'un rapport : un rapport de plus qui préconisera cette évolution, car les professionnels de santé ne demandent finalement rien d'autre qu'une mise en adéquation de leur profession aux besoins de la société. Or le besoin impérieux d...

Je vous remercie de votre réponse, monsieur le ministre, mais ce que nous demandons, c'est un calendrier précis. Le rapport à venir ne dira rien que nous ne sachions déjà.

Au nom du groupe Agir ensemble, je présente d'abord nos meilleurs voeux à l'Assemblée ainsi qu'à tous les Français. J'en viens à ma question. « Issu de la nature, le covid-19 a montré à quel point la santé humaine est intimement liée à notre relation avec le monde naturel », déclarait Antonio Guterres en mai 2020. La covid-19 qui, comme 60 % d...

Ma question s'adresse à M. le ministre de la santé et des solidarités. Après les épuisants mois de confinement où ils ont été acclamés comme des héros, les soignants ont beaucoup espéré du Ségur de la santé, pensant obtenir une véritable reconnaissance de la valeur de leur travail. Ces espoirs ont été…

… douchés. De nombreuses professions sont amères : sages-femmes, professionnels libéraux, de la santé de ville, médico-sociaux, pour ne citer qu'eux. Ils sont nombreux à estimer qu'ils n'ont pas été entendus. La place prépondérante laissée aux administrations dans les négociations alors que presque partout elles ont été perçues comme des frein...

Monsieur le ministre, ne serait-il pas temps de donner la priorité à une véritable et profonde réforme de santé…

… en prenant en compte et en écoutant ces femmes et ces hommes, ces professionnels qui font notre système de santé ?

Monsieur le ministre, je vous entends parfaitement et j'approuve tout ce qui a été fait lors du premier Ségur, mais la question n'est pas là : je veux vous dire que les soignants sont épuisés et ne sont pas sûrs de pouvoir faire face à la deuxième vague. Ce que réclament tous les collectifs de soignants c'est un deuxième Ségur, où tous les soig...

Ma question, à laquelle j'associe les membres de la délégation aux droits des femmes, s'adresse à Mme la secrétaire d'État Marlène Schiappa. Pourquoi poser une question sur l'excision ? Pourquoi parler de mutilations génitales féminines dans cet hémicycle ? Mais parce que, aujourd'hui, en France, 60 000 femmes vivent excisées… Je dis bien 60 0...

Vous l'avez dit, madame la secrétaire d'État, ceux qui excisent les petites filles ne doivent avoir aucun répit, ni en France ni dans le monde.

Il y a un an et demi, j'avais posé une question au Gouvernement ici même, et aujourd'hui, je réitère par cette question notre engagement dans cette lutte ! Aussi, madame la secrétaire d'État, je vous demande d'expliquer combien il est essentiel de porter ce combat au niveau international, notamment lors du G7 2019, qui sera, par la volonté prés...

Ma question s'adresse à Mme Agnès Buzyn, ministre des solidarités et de la santé. Aujourd'hui, 6 février, c'est la journée internationale de la tolérance zéro à l'égard des mutilations génitales féminines. Pourquoi ? Parce que, de par le monde, ce sont près de 200 millions de femmes et de filles qui sont excisées, infibulées ou qui ont subi d'...

Ma question, à laquelle j'associe les députés de La République en marche des départements du Gard, de l'Hérault, de l'Aude et des Pyrénées-Orientales, s'adresse à M. le ministre de l'agriculture et de l'alimentation. Monsieur le ministre, je tiens d'abord à saluer votre sincère implication dans le dialogue et la concertation dans le domaine de...

Le phénomène d'importation massive de vin espagnol par la grande distribution est en forte progression, mettant à rude épreuve notre viticulture. Le coût de production est beaucoup moins élevé en Espagne et la réglementation y est plus flexible.

S'ajoute à cela un problème d'étiquetage pouvant tromper le consommateur sur la provenance du produit. Nous faisons donc clairement face à un cas de concurrence déloyale à plusieurs niveaux.

D'une part, l'utilisation de certains produits phytosanitaires pour traiter les vignes est autorisée en Espagne mais pas en France, où ils sont considérés comme nocifs. Et bien que ces produits soient interdits chez nous, l'importation de vins traités avec ne l'est pas pour autant. Les viticulteurs français, qui ne comptent ni leurs heures ni l...

D'autre part, il a été constaté des anomalies liées à l'étiquetage des vins espagnols dans la grande distribution. Des bag-in-box espagnols sous le label « Pays d'Oc » sont par exemple commercialisés dans les rayons de produits locaux de nombreuses grandes surfaces.

Il y a manifestement un dysfonctionnement inacceptable s'agissant de la réglementation des affichages obligatoires des étiquettes de vin. Nos concitoyens pensent acheter du vin français et consommer français alors qu'il s'agit en réalité de vin espagnol. Je tiens à rappeler que si les viticulteurs de la région venaient à perdre ce marché, c'es...

Monsieur le ministre, quand pourrons-nous régler ce problème récurrent d'étiquetage que la grande distribution ignore et quelles mesures sont à l'étude pour mettre un terme à cette concurrence déloyale qui pénalise lourdement nos viticulteurs ?