cosignée par Emmanuelle Anthoine, Edith Audibert, Philippe Benassaya, Sandra Boëlle, Jean-Claude Bouchet, Marine Brenier, Bernard Brochand, Éric Ciotti, Pierre Cordier, Josiane Corneloup, Bernard Deflesselles, Béatrice Descamps, Julien Dive, Nadia Essayan, Meyer Habib, Michel Herbillon, Jean-Christophe Lagarde, Mohamed Laqhila, Marie-France Lorho, Nicolas Meizonnet, Éric Pauget, Nathalie Porte, Didier Quentin, Alain Ramadier, Isabelle Santiago, Michèle Tabarot, Guy Teissier, Jennifer De Temmerman, Agnès Thill & Arnaud Viala
Mesdames, Messieurs, Il y a 106 ans, les populations arméniennes étaient victimes des exactions ottomanes.
Ces sombres événements sont aujourd’hui connus comme le génocide arménien.
L’enjeu de la reconnaissance de ce génocide majeur est depuis sujet de nombreux débats.
La Turquie, héritière de l’Empire ottoman, refuse encore à ce jour de reconnaître le génocide.
Pire, elle prône sa négation et se montre agressive envers ceux, fidèles à une réalité historique, qui reconnaissent et commémorent le génocide arménien.
L’entrisme turque et les violences contre les Arméniens se renforcent pourtant chaque jour.
Nier le génocide, c’est assassiner les victimes une deuxième fois.
C’est par ailleurs un élément constitutif de la politique pro‑turque et anti‑arménienne.
Il s’agit d’une expression favorisant les troubles à l’ordre public, la haine et le rejet de l’autre et les tensions communautaires.
À l’heure où la France prend conscience et...
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