Les amendements de Dominique Da Silva pour ce dossier
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Le travail est, depuis 2017, le fil rouge de notre action et sa boussole, pour que le travail paie toujours davantage que l'inactivité et permette de vivre dignement. Pour cela, une nouvelle étape de la réforme de l'assurance chômage s'engage dès demain. À partir du 1er décembre, il faudra avoir travaillé au moins six mois dans les deux derniè...
Pour les salaires mensuels supérieurs à 4 500 euros brut, pour des publics en plein emploi, l'allocation chômage deviendra dégressive au bout du septième mois d'indemnisation, au lieu du neuvième mois actuellement.
Cette réforme est aujourd'hui possible, car l'action que nous menons depuis 2017 porte ses fruits. Notre stratégie nous a non seulement permis de résister à la crise mais aussi de mieux rebondir : notre croissance, dynamique, supérieure à 6 %, place la France en tête des grandes économies européennes. Nous obtenons des résultats spectaculaires,...
Un effort spécifique a été fait en faveur de la jeunesse : grâce au plan « 1 jeune, 1 solution », 3 millions de jeunes ont trouvé une formation, et le taux de chômage est au plus bas depuis quinze ans, y compris chez les moins de 25 ans. Enfin, la hausse de la formation en faveur des demandeurs d'emploi, qui a augmenté de 15 % en deux ans est ...
Aussi, madame la ministre, dans le contexte de difficultés de recrutement que nous connaissons partout, et au-delà de cette réforme indispensable, pouvez-vous nous dire si les formations plébiscitées convergent bien vers les besoins exprimés sur le marché de l'emploi ?
Madame la ministre du travail, le Président de la République a reçu ce matin à l'Élysée les partenaires sociaux, comme il l'avait annoncé le 9 juillet dernier devant le Congrès de Versailles, pour préparer l'agenda social de la rentrée dans le cadre d'une République contractuelle. Dans son discours devant les parlementaires, le Président de la...
… et de ce qu'on appelle la « permittence », c'est-à-dire le mouvement d'allers-retours permanents entre contrats courts et indemnisation chômage. Cela semble faire écho aux propos de nombreux chefs d'entreprises, qui ont du mal à recruter – c'est particulièrement vrai dans le bâtiment, dans l'industrie et dans les services.
À titre d'exemple, le secteur du bâtiment a récemment déploré les difficultés des entreprises à recruter, alors qu'on dénombre 430 000 personnes inscrites à Pôle emploi dans la rubrique BTP. Même en interprétant ce chiffre avec beaucoup de précaution, il représente presque le triple des 150 000 emplois perdus dans le BTP après la crise de 2008....
Nous allons, dès cette semaine, examiner en seconde lecture le projet de loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel. Comment le Gouvernement compte-t-il améliorer le lien entre l'offre et la demande sur le marché du travail et rendre plus incitative la reprise au travail dans les métiers sous tension ?