Les amendements de Dominique Potier pour ce dossier
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Je prendrai le temps de répondre. Je pense, en cet instant, à la petite dizaine de militants de la société civile, qu'ils soient chef d'entreprise, entrepreneurs sociaux, syndicalistes, chercheurs, anciens cadres et autres, qui ont coopéré aux travaux que notre groupe a engagé depuis quelques années aux côtés de Boris Vallaud. Dans la lignée d...
Il n'y a aucune ambiguïté en la matière. C'est même un tel dispositif, alliant agilité sur le terrain et rigueur de l'État, que nous voulons dupliquer pour qualifier non pas un produit mais l'ensemble de l'entreprise. Je tenais à la rassurer sur le sujet. Quant à la perspective, qui lui paraît bien floue, consistant à intégrer la contribution ...
C'est formidable ! Regardez à nouveau ce sketch, et vous comprendrez que le greenwashing ou le socialwashing des multinationales ressemble souvent à cela. Cette capacité des grandes entreprises à prétendre faire le bien devient insupportable. Au-delà des 17 milliards d'euros engagés chaque année pour diffuser des publicités qui conditionnent no...
En tant que démocrate, je pense quant à moi – comme vous, monsieur Serville – que c'est au Parlement et à la puissance publique de définir ce qui est bien ou mal dans une société, et non à ceux qui ont le privilège de l'argent.
Je vous remercie donc pour vos propos. Madame Rubin, j'ai été étonné que le groupe La France insoumise se joigne à cette proposition d'inspiration très réformiste et sociale-démocrate. Je vous remercie pour cette ouverture. Vous avez exprimé votre méfiance vis-à-vis de l'article 2, qui tend à récompenser les efforts fournis par les entreprise...
je m'adresserai à eux deux. Je regrette votre manière quasi systématique de rejeter une expérimentation, qui s'appuierait uniquement sur des personnes volontaires. Nos interlocuteurs – la CPME, les syndicats réformistes, l'économie sociale – nous disent qu'une expérimentation serait bienvenue et qu'elle s'articulerait parfaitement avec le cale...
… ou plutôt du semblant d'innovation. Je le dis en effet avec force : votre réforme du code civil n'est pas celle prônée par le Collège des Bernardins et les auteurs appelant à une réforme du capitalisme au XXIe siècle. Lorsque vous prétendez vouloir « prendre en considération » les externalités de l'entreprise, vous faites preuve de condescen...
Si vous le permettez, monsieur le président, j'évoquerai enfin l'argument selon lequel notre proposition se heurterait à l'échelon européen. Nous le connaissons par coeur : il est le meilleur prétexte pour refuser de mener des réformes en France ! Nous pouvons y répondre par un récit alternatif, fondé sur l'expérience : au moment d'adopter le d...