Les amendements de Frédéric Reiss pour ce dossier
7 interventions trouvées.
J'ai cosigné sans hésiter cet amendement de suppression de Valérie Beauvais, l'article 21 inquiétant à juste titre de nombreuses familles. Le but de ce projet de loi est de lutter contre l'endoctrinement et le séparatisme. Or, avec cet article, il en va de la liberté des parents de choisir la meilleure façon d'instruire leurs enfants. Sous prét...
Cet amendement tend à renforcer les contrôles effectués par le maire et par l'éducation nationale pour apprécier la qualité de l'enseignement dispensé en famille.
Lors de l'examen du projet de loi pour une école de la confiance, j'avais plaidé la cause des jardins d'enfants, notamment ceux du département du Bas-Rhin. Nous avons obtenu une période d'adaptation courant jusqu'en 2024, c'est une avancée. Je souscris donc totalement à l'objectif de l'amendement de Mme Lang, dont l'exposé des motifs décrit par...
Proposé par notre collègue Nicolas Forissier, cet amendement prévoit, de façon intéressante, la possibilité de rattacher un enfant recevant une instruction en famille à un établissement scolaire afin de favoriser des interactions sociales ponctuelles entre cet enfant et les personnels enseignants et les élèves. Ces interactions pourraient s'éta...
Dans ce projet de loi, présenté comme un marqueur du quinquennat, le lien entre l'instruction en famille et le séparatisme est ténu. Dans le but louable de préserver les enfants du discours fondamentaliste, l'article 21 vient ébranler la liberté d'instruire en famille et l'égalité des chances devient uniformisation. Si le nombre d'enfants instr...
Nous sommes bien placés en Alsace pour savoir que le totalitarisme peut malheureusement venir d'un État. La responsabilité de l'éducation des enfants incombe prioritairement aux parents. Le dispositif d'autorisation est très restrictif, et tout régime autre que déclaratif va plonger les familles dans l'insécurité juridique.
Le Gouvernement a voulu faire croire à l'opinion publique qu'il a reculé sur ce sujet, mais le texte prévoit bien une interdiction de principe. Chers collègues, n'ôtons pas aux générations actuelles et futures, sous prétexte de lutter contre la radicalisation, toute chance de développer leur créativité et de s'épanouir grâce l'instruction en f...