Les amendements de Hubert Wulfranc pour ce dossier
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Merci. Qu'essaye-t-on de contourner par ces nouvelles possibilités données aujourd'hui, étendues demain, puis rendues obligatoires dans quelques années ? Précisément ce que réclament les élus depuis des années : un véritable statut de l'élu, qui va bien au-delà des techniques de visioconférence, mais touche à la faculté même de certains de nos...
Voilà ce que nous vous demandons depuis des années : pouvoir exercer un mandat dans de bonnes conditions. Par ailleurs, qu'est-ce qu'une réunion de conseil métropolitain ou de conseil d'intercommunalité ? C'est quelque chose de vivant : c'est un public, qui participe, qui proteste, et qui, de plus en plus, est écarté de la scène du débat.
Un exemple nous en a encore été donné il y a un mois à l'occasion de l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen, où les citoyens voulant obtenir des réponses ont été accueillis par des CRS !
Or demain, on voudrait faire en sorte que les élus s'expriment entre eux, à travers des écrans ? Qu'est-ce que cela veut dire ?
La gestion de l'eau, sur laquelle je reviens, puisque vous me le permettez, est véritablement une question politique. Son transfert forcé à des intercommunalités XXL ouvre en effet la possibilité d'un marché.
Voilà ce que voulait dire tout à l'heure mon collègue Jean-Paul Dufrègne ! Dès lors que les requins s'y nichent, le débat sur le caractère public ou privé de la gestion de l'eau auprès de nos concitoyens est ouvert !
Madame la présidente, je vous prie de bien vouloir décompter de mon temps de parole ces quelques instants qui m'ont été dérobés.
Merci, madame la présidente. Ce débat en ouvre un autre, cher à notre collègue Battistel : celui de la gestion publique de l'eau retenue par les barrages et des centrales hydrauliques qui s'y trouvent.
Nous traitons bien là de questions politiques. Il y va de la faculté des élus locaux à offrir un service de première nécessité à leurs administrés !