Depuis le début de la crise, monsieur le Premier ministre, beaucoup sur ces bancs ont plaidé pour des solutions territorialisées, adaptées, plus dures là où le virus circule plus, plus légères et plus respectueuses des libertés de nos concitoyens là où il circule moins.
La solitude des choix, la confiscation du débat, c'est cela aussi le mal français.