… il y a un gouvernement qui décide, qui présente des mesures face à la crise, et un parlement qu'on interroge, qui doit discuter, commenter, donner son avis et formuler des propositions, et qui doit, à la fin, adopter ou rejeter les mesures débattues. Nous faisons face à un faux procès, et peut-être même à une certaine habileté de la part des oppositions, qui ne voudraient pas, dans les temps que nous vivons, étaler les divisions qu'elles connaissent entre ceux qui sont systématiquement opposés…