Nous demandons la reconnaissance et la valorisation énergétique et écologique de ces structures. Il convient d'éviter certaines destructions décidées par les agences de l'eau.
Mon collègue Jumel, qui sillonne abondamment à l'heure actuelle les routes de Normandie, m'a parlé de l'exemple frappant de ces trois fleuves côtiers que sont l'Orne, la Touques et la Vire, où la population des poissons n'a pas repris sa croissance et continue même de baisser malgré de nombreuses destructions d'ouvrages.
En hommage à mon camarade Sébastien Jumel, qui se trouve encore à cette heure sur les routes de Normandie,