Je rappelle qu'il a été le premier président de la République à dire les choses, en matière d'environnement. C'était à Johannesbourg, en septembre 2002 : « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs. » Cela a permis d'engager des politiques importantes en matière environnementale, reprises par les présidents et les majorités successifs, notamment en 2007 par le président Sarkozy et le ministre de l'écologie d'alors, Jean-Louis Borloo, lors du Grenelle de l'environnement.
Je vous remercie donc, monsieur le rapporteur, de reconnaître à Jacques Chirac le mérite d'avoir le premier ouvert cette nouvelle ère pour l'environnement, qui nous tient tant à coeur aujourd'hui.