Ma question porte sur le risque d'infiltration des forces de sécurité et singulièrement des services de renseignement par des fonctionnaires ou des militaires qui se seraient radicalisés. On sait qu'il y a deux ans un fonctionnaire de la préfecture de police de Paris s'étant radicalisé en cours de carrière a tué plusieurs de ses collègues. Pouvez-vous nous dire ce que vous faites pour prévenir ce risque et, si cela est possible, ce que vous avez déjà trouvé et évité ?