À mon tour, mon général, je veux vous dire notre fierté devant l'ampleur et la réussite de cette belle opération militaire.
Le lieutenant-colonel Nicolas, commandant de bord de l'A400M qui a assuré le premier vol vers Kaboul, a indiqué lors d'un point presse du ministère des armées, le 31 août dernier, que deux menaces avaient dû être prises en compte : celle d'une attaque terroriste et celle de l'environnement géographique. Nous savons que l'aéroport de Kaboul se situe à 1 800 mètres d'altitude et qu'il est entouré de hautes montagnes, ce qui pouvait jouer sur les performances de nos avions. Pourriez-vous revenir sur ce second risque et nous exposer les mesures prises pour l'atténuer au maximum ?