Dans votre chaîne de valeur du moment et son évolution sur les dernières années, vous faites de plus en plus appel au tissu biotechnologique et donc, directement ou indirectement, à la recherche fondamentale. Comment arriverons-nous aux 3 % du PIB dans cette recherche ? Quand allez-vous investir davantage dans la recherche, puisque nous voyons, bien évidemment, les limites de l'intervention étatique ? À travers cette recherche, nous avons, vous en conviendrez, l'élément princeps de notre activité pharmaceutique.
Comment concevez-vous la bioproduction qui, j'imagine, sera un moteur clé pour la compétitivité de notre territoire ?
Enfin, vous avez mentionné la communication interministérielle, pensez-vous que la future Agence d'innovation en santé (AIS) peut répondre à cette question ?