Madame la ministre, je voudrais saluer la cohérence et la constance de l'action du Gouvernement depuis 2017, grâce auxquelles des moyens supplémentaires ont été donnés à nos universités et à nos étudiants. Les critiques viennent parfois de celles et ceux qui nous ont légué un triste bilan en la matière. On ne gouverne pas à coups de « y a qu'à » et de « faut qu'on », mais avec une boussole. Cette boussole, c'est améliorer la vie de nos étudiants et de nos universités.
Face à la douloureuse crise sanitaire, économique et sociale, nous avons imaginé de nouveaux dispositifs pour protéger les étudiants les plus précaires. Les étudiants ont été touchés sur le plan social, économique, mais aussi sur le plan psychologique. En janvier 2021 a été créé le chèque psy et, en mars 2021, le site gouvernemental Santé Psy Étudiant a vu le jour. Pouvez-vous dresser un premier bilan de ces actions ?